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Mon Enfant, Nous ÃĐtions Enfantsâ€Ķ

Dans le poème ‘Mon enfant, nous étions enfants…’, Heinrich Heine nous transporte dans un voyage nostalgique à travers les jeux innocents de l’enfance. Écrit au 19ᵉ siècle, ce texte poétique évoque les souvenirs heureux de deux enfants qui s’amusaient ensemble, tout en mettant en lumière la mélancolie de la perte de ces moments précieux. À travers des images vives et des réflexions poignantes, Heine parvient à capturer l’essence de l’innocence perdue.
Mon enfant, nous ÃĐtions enfants, Deux enfants petits et gais ; Nous rampions dans le poulailler, Nous nous cachions sous la paille. Nous imitions le chant du coq Et si des gens passaient tout prÃĻs – ÂŦ Cocorico ! Âŧ, ils pensaient Que c’ÃĐtait le cri du coq. Les caisses, dans notre cour, Nous les garnissions de tapis, Et nous y habitions ensemble, Et nous faisions un ÃĐlÃĐgant logis. Le vieux chat du voisin Venait souvent en visite. Nous lui faisions rÃĐvÃĐrences et courbettes, Et ce qu’il faut de compliments. Nous l’avions interrogÃĐ, soucieux Et amicaux, sur sa santÃĐ ; Nous avons, depuis, rÃĐpÃĐtÃĐ La mÊme chose à maint vieux chat. Souvent nous ÃĐtions assis, et parlions Raisonnables comme des vieux, Et nous plaignions que tout Etait bien mieux de notre temps ; Que l’amour, la fidÃĐlitÃĐ et la foi N’existaient plus en ce bas monde, Et que le cafÃĐ ÃĐtait cher Et que l’argent ÃĐtait rare ! — Disparus sont les jeux de l’enfance, Et toute chose roule au loin – L’argent et le monde et le temps Et la foi, la fidÃĐlitÃĐ et l’amour.
Ce poème nous rappelle que, malgré le passage du temps, les souvenirs d’enfance restent ancrés dans nos cœurs. N’hésitez pas à explorer davantage les œuvres de Heinrich Heine pour découvrir d’autres réflexions poétiques sur la vie et l’amour.

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