Dans les moments les plus sombres, lorsque la lumière semble s’éteindre, il est essentiel de se rappeler que l’amour perdure au-delà des adieux. Ce poème s’adresse à tous ceux qui pleurent une âme chérie, pour offrir réconfort et sérénité, et pour évoquer la beauté de ce qu’ils ont partagé. Chaque mot ici est une caresse douce pour ceux qui restent, une étreinte silencieuse au cœur du chagrin.
Dans la brume des souvenirs qui flottent,
Émerge une voix tendre, celle du passé.
Un éclat d’étoile, un murmure qui emporte,
Les rires d’hier, à jamais enlacés.
Les ombres dansent sur les murs fatigués,
Rappel d’une vie, d’un amour omniprésent,
Les larmes coulent, mais le cœur, apaisé,
Trouve la force de s’élever lentement.
Au jardin des âmes, les fleurs s’épanouissent,
Un parfum léger, un souffle de chaleur.
Chaque pétale, douce promesse, se glisse
Dans les veines du temps, un cri de douceur.
Sous le ciel étoilé, un silence se tisse,
Écho des rires, tendres instants volés,
Et même si l’absence à jamais se malice,
L’amour, éternel, jamais ne s’estompe,
Jamais n’est oublié.
Des chemins se croisent, d’autres s’écartent,
Une étoile s’éteint, mais d’autres brillent encore.
Souvenirs délicats, trésors sans pareille,
Nous rappellent que la vie reste un décor.
Chérissons ces moments, comme un souffle d’air,
Car dans chaque regard, une lumière se lève,
Celle de l’absence, celle de l’univers,
Nous guide et nous porte, même au cœur de la grève.
Alors, fermons les yeux, retrouvons nos âmes,
Dans le silence habité par ceux qu’on aime,
Ressentons leur étreinte, toujours, sans drame,
Leurs cœurs battent encore dans notre poème.
À toi, cher absent, remerciements sincères,
Pour les rires partagés, les promesses de hier.
Que ton voyage soit doux, léger comme un air,
Tu vis en nous tous, et dans notre lumière.
Et ainsi, dans cette danse, nous apprenons à vivre,
Portés par la mémoire, les souvenirs vivants.
Chaque larme est un symbole, un moyen d’y parvenir,
Pour célébrer l’amour qui demeure, omniprésent.
Car si la vie nous sépare, l’essence persiste,
L’invisible fil d’amour, éternel et pur,
Nous relie à tout jamais, malgré les adieux tristes,
Et fait de notre chagrin, un doux murmure.