Poème sur la Mort : Larmes Silencieuses

Échos d’un Amour Éternel

Dans l’ombre douce des souvenirs errants,
Des larmes se mêlent aux soupirs brûlants,
Le cœur se plie sous les poids du temps.

La mort s’avance, silhouette de brume,
Elle murmure à l’âme, emportant les plumes,
Des rêves épars, des éclats d’une lune.

Mais dans ce silence, une lumière s’installe,
Chaque larme versée, un amour qui s’emballe,
Un reflet d’espoir dans la nuit qui s’étale.

Les heures défilent, traînant leur mélancolie,
Les âmes séparées, pourtant, dans l’infini,
Tissent des liens d’or, là où la vie s’oublie.

À la croisée des chemins, une voix résonne,
Acceptant le départ, tout en gardant le frisson,
Des doux souvenirs, éclats de passion.

Étreintes des cœurs, même dans l’adversité,
La mort se pare d’une étrange clarté,
Transcendant la douleur, la réalité.

Oh, que d’histoires dans l’obscurité se trament,
Chaque larme descendue, pour apaiser les âmes,
Rappel d’un amour, qui jamais ne se fane.

Derrière les voiles d’un chagrin partagé,
S’érige la force d’une main entrelacée,
La résilience danse, au gré du temps usé.

Ensemble, en silence, nous portons le fardeau,
D’une vie révolue, d’un chapitre si beau,
Ancrant nos espoirs sous le ciel si nouveau.

La mort, ce passage, une porte, un miroir,
Où l’amour éclatant sublime notre histoire,
Chaque larme silencieuse alimente notre espoir.

Il est des larmes qui ne pleurent pas en vain,
Car dans leurs éclats, se dessine un chemin,
Un horizon de paix, comme un doux refrain.

Ainsi, si la douleur nous hante en silence,
Nous découvrirons, au gré de la conscience,
Que la mort, tout le monde, unit dans la danse.

Chaque larme, un témoignage de la tendresse,
Une lueur persistante dans l’ombre, une adresse,
S’élevant en hymne, chant d’immortelles richesses.