Dans le tumulte des jours qui passent, où les échos de la guerre vibrent encore dans nos mémoires, un doux désir murmure à l’âme : celui d’une paix intérieure, d’une harmonie globale. Les blessures du monde, à la surface si profondes, peuvent trouver un apaisement à travers le sentiment partagé d’amour et de respect. Ce poème est une ode à cette quête silencieuse qui résonne dans chaque cœur, un appel à contempler la beauté fragile de la paix.
Entre les murmures des rivières, s’épanouissent les rêves,
Des clartés d’un monde en quête de lumière,
Là où les cœurs s’entrelacent et se lèvent,
Un chant de paix, tendre, qui nous éclaire.
Sur les ailes du vent, flotterait un soupir,
Des âmes vagabondes, en quête d’un repère,
Éveillant les esprits à l’envie de chérir,
Chaque instant d’amour, chaque jour de lumière.
Quand les ombres s’allongent dans le sillage du soir,
Et que les larmes scintillent dans l’ombre des peurs,
Il émerge, fragile, comme un délicat espoir,
Une note d’harmonie, un bouquet de douceurs.
Des rivières du monde aux montagnes lointaines,
Chuchotent ensemble un hymne à la paix,
Réveillant en nous une force sereine,
La promesse d’un jour où l’amour sera roi.
Les enfants du présent, en balbutiant de rire,
Dessinent des rêves sur le ciel infini,
La paix est un collage, mosaïque à bâtir,
Chaque geste d’amour, une étoile à l’infini.
Ensemble, tendons les mains, faisons tomber les murs,
Et tissons des ponts, là où l’eau ne cesse de couler,
La vérité des cœurs, comme une lueur d’aventure,
Nous rassemblera tous sous un vaste ciel éveillé.
Contempler notre monde à travers ce prisme de paix nous rappelle que chaque pas, chaque geste compte. La paix, fragiles nuances d’émotions humaines, est à la portée de ceux qui, ensemble, osent rêver d’un demain plus doux. Ainsi, gardons en mémoire que la vraie paix commence d’abord par l’apaisement de notre propre cœur, et que l’harmonie mondiale ne peut que surgir des profondeurs de ce désir partagé.