Dans le jardin des mots, les signes dansent,
Sur la page, esquissant une cadence.
Les virgules, pauses, tels des soupirs,
Accrochent nos pensées, échos à l’infini.
Chaque point, chaque point-virgule,
Rendent la vie plus belle, plus ridicule.
Explorons ces symboles dans le silence,
La ponctuation, une douce alliance.
Oh, point d’exclamation ! Cri de l’âme,
Éclat de joie ou d’une profonde flamme.
Il jaillit, tel un soleil, à chaque phrase,
Dans son éclat, l’émotion se braise.
Et la virgule, oh douce hésitation,
Là où le cœur suspend sa conversation,
Elle tisse des rêves, un fil délicat,
Sur le chemin d’un récit qui s’ébat.
Les deux-points, tels les porteurs d’une promesse,
Offrent la clé d’une douce ivresse,
Ils annoncent un tes, une révélation,
Comme un secret murmuré à l’unisson.
Le point-virgule, cet acrobate,
Jongleur de phrases, à l’ère délicate,
Il relie nos pensées, l’un à l’autre,
Dans un ballet où l’esprit s’auto-démarcotte.
Interrogeons le point d’interrogation,
Sombre reflet de l’incertitude en action,
Il ouvre des portes sur l’inconnu,
Là où le mystère se mêle à l’invu.
Et la parenthèse, refuge, abri,
Tisse des apartés, des histoires d’amis.
Elle capture des regards, des sourires,
Dans la lumière d’un dialogue à offrir.
Ce grand festin de ponctuation,
Un langage en soi, une révélation.
Les signes s’allient, esquissent une danse,
Chantent les émotions, la vie en cadence.
Oh, jouons avec eux, chefs-d’œuvre en bulle,
La syntaxe, un art, poésie qui pullule.
À travers la ponctuation, la passion,
Découvrons le rythme, la douce raison.
Car chaque mot est un univers à explorer,
Où la ponctuation invite à rêver.
Elle est le cœur vibrant de notre langage,
Un souffle de vie dans chaque tournage.
La prochaine fois que vous écrivez, au fond,
Rappelez-vous le pouvoir des signes de ce monde.
Ils orchestrent nos pensées, nos émotions,
Peignant la toile de nos conversations.