La passion de Sissi, impératrice d'Autriche
Dans la douceur d’un crépuscule viennois,
Où le vent caresse les secrets de l’histoire,
Résonne l’écho d’une voix, noble et noire,
C’est Sissi, dont le rêve danse sous les toits.
Avec la lune comme seul témoin,
Elle s’élance, silhouette de velours,
Le monde à ses pieds, un amour sans détours,
Dans son cœur, un empire, mais seule, sans un soin.
Ses yeux, deux étoiles perdues dans l'immensité,
Regardent au loin, au-delà des vallées, des mers,
Cherchant l’essence de la vie, au-delà des revers,
Une quête de liberté, dans la cage dorée.
Avec grâce, elle effleure les pétales d’un rêve,
Où chaque aube apporte son cortège de lumières,
Elle, l’impératrice, au destin de guerrière,
S’abandonne aux éclats, que le crépuscule sème.
Dans les méandres de la cour et de l’ennui,
Sissi cherche la clarté, la vérité enfouie,
Sous les ors et les dentelles d’une vie choisie,
Elle aspire à plus, à l'infini, à la vie.
Son esprit, un jardin secret, luxuriant, interdit,
Foisonnant de rêves, d’amours et de rébellions,
Dans les allées de son cœur, poussent des millions
De fleurs sauvages, de pensées, libres et hardies.
La nuit, compagne de ses confidences,
Écoute ses soupirs, murmures d’espérance,
Dans le silence, elle compose, une alliance,
De mots, de rêves, une poétique danse.
Et quand l’aurore peint de rose et d’or l’horizon,
Sissi, éphémère écho d’un monde qui sommeille,
Dans le murmure du temps qui veille,
Trouve dans les vers, son éternel pavillon.
Elle qui portait en elle l'immensité du ciel,
Rêvait de courir libre, au-delà des apparences,
À travers champs et forêts, loin des convenances,
Pour écrire enfin sa vie, d’une plume rebelle.
Dans le miroir de son âme, un reflet indompté
Montre la passion brûlante, encerclée de mystères,
Une impératrice en armure, dans une quête solitaire,
Pour trouver la clef de l'amour, de la liberté.
Quand viendra le jour, dans un future incertain,
Où le nom de Sissi, dans les livres, les esprits,
Sera celui d’une femme, que l’on admire, que l’on prie,
Non pour sa couronne, mais pour son chemin humain.
Elle, dont le souffle a traversé les âges,
Parle encore aux cœurs cherchant leur vérité,
Dans ses pas, une voie pour la postérité,
A éclairer les ténèbres de tous les orages.
Voilà l’histoire, tissée de brume et de lumière,
D’une impératrice, entre rêve et réalité,
Qui sut, avec courage, sa vie réinventer,
Pour que son écho résonne, libre et fier.
Dans la mosaïque du temps, Sissi, éternelle,
Nous enseigne que la vie, avec ses couleurs, ses batailles,
Ne se vit pleinement que lorsque l’on dévoile,
Le fil d’un amour vrai, profond et sans ailes.
Ainsi se conclut le voyage, audacieux et tendre,
De l’impératrice d’Autriche, dans le labyrinthe des mots,
Où chaque vers est un pas, chaque rime un vaisseau,
Naviguant vers l’aube d’un monde à réapprendre.
Que ce poème soit une fenêtre ouverte,
Sur l’âme d’une reine, d’une femme, d’une poétesse,
Dont la passion, la force, s’inscrivent dans la noblesse,
D’un cœur battant, au-delà de toute déserte.
Puissions-nous tirer de cette épopée singulière,
Le courage de poursuivre nos propres quêtes,
À l’image de Sissi, brave, dans sa conquête,
De l’amour, de la vie, dans sa lumière première.