Dans le crépuscule doré, commence une danse,
L’écho d’une mélodie ancienne porte l’espérance,
Sous le ciel vaste et l’éclat des étoiles naissantes,
Se déploie l’ouverture, la valse des sentiments.
Un premier pas dans l’arène, le cœur en exil,
Les âmes se cherchent, se frôlent, dans un mouvement subtil,
Tissant un tableau vivant de couleurs et de soies,
Un ballet de désirs, de rêves, et de lois.
Les pas s’accélèrent, la passion se révèle,
Dans chaque geste, une histoire, une étincelle,
Un frisson parcourt l’assemblée, captivée,
Par cette symphonie d’émotions, si finement orchestrée.
Un tourbillon de joie, de tristesse, entremêlés,
Sur cette piste où l’amour et la peine sont invités,
Éphémères visiteurs, dansant au gré du vent,
Cherchant dans l’autre, un refuge, un serment.
Mais voici que le tempo ralentit, s’apaise,
Laissant place à la douceur, à une tendre sagesse,
Les cœurs s’apprivoisent, les esprits se rencontrent,
Dans cet instant fragile, où les frontières se surmontent.
Les notes s’adoucissent, les pas se font plus légers,
Dans l’air, une promesse d’éternité, un secret partagé,
Une harmonie retrouvée, un horizon dégagé,
Un instant de pureté, où tout semble s’aligner.
La valse prend fin, les danseurs s’éloignent,
Emportant avec eux, l’écho de cette compagne éloquente,
Une réflexion sur la vie, sur le fil de nos existences,
Un voyage à travers les sentiments, sans défense.
Dans le silence qui suit, résonne une vérité :
La beauté de l’âme humaine, dans sa complexité,
Une tapisserie tissée de mille fils d’or et de lumière,
Reflétant la splendeur et la grandeur de notre univers.
Ainsi s’achève la valse, mais l’histoire perdure,
Dans le cœur de chaque spectateur, une graine mûre,
Prête à éclore, à embrasser la richesse de la vie,
Une invitation à danser, à aimer, malgré la pluie.
La valse des sentiments, un voyage intemporel,
Une ode à l’humanité, à son essence éternelle,
Dans ce poème, un message, un espoir infini,
Que malgré les tempêtes, l’amour, toujours, réunit.