Dans l’abysse sans fin d’un ciel étoilé se perdent,
Les rêveries d’un cœur, éclats d’âme éparpillés.
Un souffle doux, léger, à peine osé,
Où les pensées s’envolent, libérées,
Vers des horizons lointains, inexplorés.
Au creux de cette nuit, où le silence écoute,
Les murmures du monde, en sourdine, se mêlent
Aux palpitations timides d’un esprit en quête,
Cherchant en vain la clarté dans l’obscurité,
Une lueur, un guide, au travers de ses doute.
L’aube, de ses doigts de lumière, effleure
La trame fragile des rêves tissés de nuit.
Elle peint de couleurs, d’espoirs et de douceur,
Cet horizon que l’âme sans repos poursuit.
L’infini se dévoile, promesse d’ailleurs.
Les pensées, telles des vagues incessantes,
Se brisent contre les rives du réel.
Chaque éclat une histoire, une note vibrante,
Dans la symphonie complexe du ciel.
L’existence se tisse, dansante, éloquente.
Dans le jardin secret où fleurissent les désirs,
Chaque pétale une vie, chaque racine un chemin.
Les douleurs et les joies, en un bouquet, s’unissent,
En un cycle éternel de fins et de débuts siens,
Où l’homme, éphémère, apprend à devenir.
Les saisons défilent, emportant dans leur sillage
Des fragments désuets de ce qui fut jadis.
Mais le cœur, vaillant, face au temps, au vent, au mirage,
Bat la mesure d’un futur à écrire, promis,
En quête d’harmonie, de vérité, de partage.
Ainsi va la vie, en une danse perpétuelle,
Où chaque pas, chaque mot, chaque geste compte.
Dans ce grand ballet, l’âme trouve son aile,
Et dans chaque rêverie, une étoile qui monte,
Guidant vers l’amour, essence universelle.
Les rêveries d’un cœur, bien plus qu’une chimère,
Sont le reflet d’un monde en constante création.
Dans le miroir de l’âme, une vérité claire,
Que chaque existence, chaque passion,
Forge l’unique et sublime symphonie de la Terre.
Que nos rêves soient les bâtisseurs vigilants
De demains meilleurs, de destins plus cléments.
Dans le firmament de l’humanité brillant,
Chaque cœur un univers, chaque pensée un firmament,
Où les mots deviennent ponts, les silences, chants.
Les rêveries d’un cœur, entre ciel et mer,
Pèlerinage des âmes en quête de lumière.
À travers les vers se dessine un univers,
Où la voix du poète, éternelle, éphémère,
Tisse d’un fil d’or la toile de notre sphère.