Dans l’ombre douce de l’aube naissante,
Un murmure s’élève, fragile et grandiose,
Racontant l’épopée des âmes errantes,
Dans l’entrelacs de rêves où tout se métamorphose.
Sous un voile d’azur, les pensées se déploient,
Cherchant leur chemin dans le labyrinthe du destin,
Comme des rivières qui, à travers les bois,
Trouvent leur cours, en étreignant l’incertain.
Et chaque rêve, un univers, vaste et infini,
Où les coeurs s’aventurent, épris de liberté,
Dansant avec les étoiles, sous le ciel de minuit,
Tissant des liens en quête d’éternité.
Les mots sont des navires, voguant sur l’océan des désirs,
Portés par les vents, ils murmurent les secrets de l’âme,
Déchiffrant le code des soupirs,
Ils peignent sur le monde une toile, flamme après flamme.
Mais, oh, combien fragile est le fil de nos rêves,
Dans ce tissage fin, où se mêlent espoir et mélancolie,
S’élevant comme des bulles d’air, légères et brèves,
Dans l’immensité de l’existence, éphémère symphonie.
Et pourtant, dans ce ballet des ombres et de lumières,
Se révèle la beauté pure de l’humaine condition,
Là où chaque rêve, chaque désir, transcende les frontières,
Unissant nos âmes dans une même vision.
Pour qu’au cœur de l’obscurité, l’espoir demeure vivant,
Que dans le froissement d’une aile de papillon,
Résonne l’écho d’un monde plus clément,
Où les rêves entrelacés deviennent notre horizon.
Regardons donc, avec des yeux remplis d’étoiles,
Vers ce futur tissé d’innombrables possibles,
Où chaque geste, chaque mot, forge les toiles,
De nos vies, œuvres d’art inédites et indicibles.
Alors, dansons sur le fil de nos rêves entrelacés,
Avec la grace d’un feu follet dans la brise nocturne,
Que nos cœurs vibrants, jamais ne cessent d’espérer,
Pour que demain, sous un ciel sans nuages, s’illumine.
Et que dans le souffle d’un monde à renaître,
Chaque être trouve la force de sculpter sa destinée,
Dans l’harmonie des rêves, où tout peut naître,
Où chaque vie est une toile, éternellement enluminée.