Dans l’écrin d’une nuit étoilée, naît le murmure,
Un souffle délicat, portant en lui l’azur.
Sous le voile tendre de l’obscurité,
Se cachent les mystères de la félicité.
Chaque étoile, un vœu, chaque constellation, un désir,
L’univers tout entier semble soudain conspirer,
Pour tisser entre les âmes un invisible soupir,
Une quête éternelle, où l’amour vient s’ancrer.
Au fil des vers, glissent des rêves ivoirins,
Des passions ardentes, des chagrins cristallins.
L’amour, cette énigme aux mille visages,
Se dévoile et s’habille de tous ses mirages.
À travers des jardins où fleurissent les émois,
Se promènent des cœurs en quête de foi.
Épris, ils voguent sur des mers enflammées,
Cherchant en l’autre Un monde rêvé.
Mais le secret de l’amour réside dans l’instant,
Dans chaque petit rien qui rend notre cœur battant.
Il est dans le sourire partagé au lever du jour,
Dans la douceur d’un geste, la tendresse d’un retour.
Car l’amour ne se conquiert dans l’éphémère,
Il se construit, patient, au fil de l’eau, solitaire.
Il est voyage sans carte, sans boussole, sans fin,
Un paysage à découvrir, chemin après chemin.
Ainsi, lorsque la tempête ébranle les croyances,
L’amour devient phare, guide en ces errances.
Il n’est pas juste passion, frisson, ou embrasement,
Mais présence, écoute, et sincère engagement.
Les secrets de l’amour, encrés en chaque cœur,
Sont les pierres angulaires de notre intérieur.
Ils nous enseignent que rien n’est plus vivant,
Que d’aimer véritablement, librement, passionnément.
Et si les mots se font l’écho de ces profondes unions,
C’est pour rappeler que, dans nos plus grandes confusions,
L’amour reste la clef, le sens de notre existence,
La plus belle des quêtes, la plus noble des insistances.
Alors, dansons sous ce firmament qui contemple nos vies,
Épris d’un amour infini, guidés par son envie.
Puisque tout commence et finit dans ses bras silencieux,
Élevons nos âmes, pour que vive l’amour, sous ces cieux.
Voici le secret éternel, sublime et si doux :
Dans l’amour, nous trouvons tout ce qui nous rend fous,
Et dans cet abandon, cet élan démesuré,
Se révèle la beauté de notre humanité partagée.
Rassemblons donc ces fragments d’éclats, ces lueurs,
Dans un poème qui parle d’amour, sans peurs,
Pour que chaque vers transporté par le vent,
Sème dans les cœurs l’espoir, vivifiant et grand.