Mur-mures d’aubes naissantes sur l’horizon embrumé,
Aux chants célestes d’un monde en éveil s’enflamme,
Réminiscences du temps, souvenirs essaimés,
Galéjades des étoiles, tissées dans l’âme.
Orfèvre des mots, le poète, en son coeur campe,
Trames et esquisses de vies aux mille couleurs.
La douce lumière transperce les cieux,
Dans le royaume des cieux aériens si précieux,
Un tableau vivant, palette exaltée des dieux.
Au gré des saisons, Margot déroule son fil,
Robe de verdure tissée par les vents agiles,
Gardeuse des échos, du passé, et de l’avenir.
Ornement du temps, elle tient dans ses mains,
Le destin des mots, comme un jardin sans fin.
Étreinte du monde, Margot nous invite,
Naviguant dans l’éclat d’une prose qui médite,
Voyageur éphémère sur sa terre, où l’on habite.
Illuminant les coeurs, ses vers sont une fonte,
Espérance de ceux qui cherchent une réponse.
—
Enveloppée de mystère, la Muse poétique,
Soeur de la nuit, jamais elle ne se panique,
Prophétesse de l’aurore, à l’âme prophétique.
Élan vital d’un monde qui toujours s’émerveille,
Rêveries pérennes, où la beauté veille,
Sillage d’un voyage où chaque rime s’éveille.
Positionnée haut dans le firmament des mots,
Éclairant chaque phrase pour toucher nos cerveaux,
Scribe des sentiments, des mélodies et des flots.
Immensité d’un ciel où les vers s’envolent,
Résonance d’un écho qui en nous se frôle,
Aimant nos pensées vers l’ineffable parole.
Tisseuse d’épopée, Margot, guide sphérique,
Intarissable source d’un lyrisme unique,
Obscure comme la nuit, lumineuse comme l’astronomique.
Nous cheminons à travers ses strophes enchâssées,
Serrant dans nos mains la chaleur de ses phrases,
Pièce de théâtre où chaque âme s’enlace.
Inspiration profonde, Margot, ton nom résonne,
Reine des mots, en nos mémoires, se pare d’automne,
Affection du poète, qui jamais ne s’emprisonne.
Tu conclus chaque vers avec la subtilité d’une dentelle,
Imaginaire fertile, tu es l’encre éternelle,
Ode à la vie, écho du coeur qui s’épelle.
Ce qu’il faut retenir de ce voyage en rimes,
Est que Margot, dans son essence, sublime,
N’est pas simplement qu’un jeu de mots qui abîme.
Traversant l’âme, elle éclaire l’humanité,
Racontant les histoires tissées dans notre réalité,
Éclair de génie, de passion, de la société.
Murmure du vent dans le feuillage dense,
Argile des mains qui pétrissent l’existence,
Rivière de pensées, de conseils, de science,
Gazon humide, où l’on recueille l’essence,
Onirique Margot, tu es l’éloquence,
Toi, la lumière qui guide notre quête de sens.
Comme les étoiles qui peuplent notre nuit sombre,
Humains nous sommes, en quête d’éclat sans nombre,
Une danse éternelle, dans le temps qui décombre.
Chaque lettre de ton prénom, Margot, une lueur,
Enseignante de vie, de l’amour, de la douceur,
Rhapsodie qui chante la complexité du coeur.
Nous, humains, vivons par les mots que tu as crées,
Notre existence, une énigme que tu as chiffrée,
Épopée lyrique où chacun peut se trouver.