Poème sur la Mort : Au-Delà des Étoiles

Voyage vers l’infini

Dans le silence d’une nuit étoilée,
Se murmure un rêve, un doux secret,
La mort n’est pas fin, mais un pas léger,
Vers un monde où l’âme va se soustraire.

Au-delà des ombres, un chemin s’ouvre,
Une lumière douce, éclatante et sobre,
Les souvenirs flottent, comme l’odeur d’une rose,
Rappelant les rires, les larmes, les choses.

Dans les yeux des vivants, une lueur persistent,
Les cœurs meurtris cheminent, des vagues en leur sein,
Pour chaque adieu, un au-revoir fait silence,
L’écho du passé, promesse de renaissance.

Les étoiles là-haut, veillent sur nos âmes,
Chantent les histoires de nos drames et de nos flammes,
La mort n’est qu’une porte, à franchir en douceur,
Un passage subtil, vers un monde en couleur.

Sur les cimes des montagnes, un souffle, une brise,
Me fait entendre les mots d’une douce cerise,
Délicatesse des choses, simples comme l’azur,
Au cœur des souvenirs, un amour toujours pur.

Ce chemin qui nous prend, ce voyage éclairé,
À chaque pas, on sent un destin partagé,
Un au-delà tissent les liens de nos vies,
Un fil d’Ariane qui jamais ne s’enfuit.

Pour chaque larme versée, une étoile brille,
Ont froid, mais s’éveillent, ces âmes fragiles,
Elles portent nos voix, nos rires, nos espoirs,
Dans ce ciel infini, où s’épanouit l’histoire.

Réfléchir à la mort n’est pas qu’un chagrin,
C’est voir l’horizon, l’inconnu qui dessine
Un parcours d’étoiles, d’espoirs immortels,
Où chaque cœur voyage, sous des cieux éternels.

Et lorsque vient l’heure, que l’on quitte ce monde,
N’oublions pas nos rêves, nos amours qui abondent,
Car au-delà des ombres, d’un souffle apaisé,
Se dresse l’univers, pour l’âme, un jardin d’été.

Dans le grand livre de la vie, écrit avec tendresse,
Les pages de l’existence scintillent de justesse,
Chaque fin, un commencement, gravé dans le ciel,
Au cœur de chaque étoile, une promesse éternelle.