Poème sur la Mort : Lueur d’Espoir

Une Lumière dans l’Ombre

La mort, douce compagne, sur le chemin du temps,
Elle effleure nos âmes de son voile léger,
Nous laissant, parfois, le cœur alourdNot par l’absence,
Mais offrant un reflet, une lueur dans l’obscurité.

Au bord de ce fleuve aux eaux troubles et sombres,
Les souvenirs s’élèvent, en murmures évanescents,
Chaque visage chéri, chaque éclat de rire,
Flotte, tel un parfum dans l’air chargé d’émotions.

La tristesse d’un départ est une ombre fugace,
Un souffle sur la peau, bientôt estompé,
Car sous ce souffle se niche une promesse,
L’espoir, paré d’étoiles dans le ciel de nos cœurs.

Il est une danse, une valse entre les mondes,
Où la vie susurre des secrets aux âmes,
Et la mort, cet instant, cette pause délicate,
N’est qu’une métamorphose, un passage en silence.

Les larmes peuvent tomber, comme pluie sur la terre,
Fertilisant le sol de notre mémoire vive,
Et au milieu des fleurs, les rires des vivants,
Chuchotent que l’amour, jamais ne s’éteint.

Dans les parcs silencieux où les âmes s’éveillent,
Chaque souffle du vent est un écho vibrant,
Et l’arbre, gardien de nos secrètes pensées,
Balance avec grâce ses bras vers le firmament.

O, mystère de la vie, rencontre de lumière,
Dans l’invisible abyssal, une étoile scintille,
Car chaque fin s’accompagne d’un nouveau début,
Une page tournée, un livre à réécrire.

Ensemble, nous marchons sur cette voie pavée,
Forte de tant de récits, d’histoires entrelacées,
Et dans le souffle du vent se devine l’éternité,
Un chant d’espoir, une ode à l’amour.\

Nous devenons des phares, illuminant les cieux,
Brillant pour ceux qui partent et ceux qui demeurent,
Car la mort, bien que sombre, est une lumière d’espoir,
Un souffle d’existence qui jamais ne s’éteint.

Alors, levons nos verres de souvenirs partagés,
Célébrons cette vie en un chant d’émerveillement,
Car malgré les ombres qui parfois nous hantent,
L’esprit s’élève, libre, vers l’infini pur.

Chaque étreinte, chaque regard, chaque parole échangée,
Fait résonner nos âmes, unies dans la lumière,
Et dans ce cycle, la mort n’est qu’un au revoir,
Où l’espoir se glisse, éternellement présent.