Plume de poète
Plume de poète
Bienvenue sur mon blog, je suis Nathalie Cali, dans les recoins tranquilles de mon quotidien, j'explore l'art de tisser des mots en poèmes et histoires pour enfants, chaque texte que je partage sur unpoeme.fr est un fragment de mon imagination, conçu pour éveiller la curiosité et l'enthousiasme des jeunes esprits, qand je n'écris pas, je me plonge dans le monde des livres, toujours à la recherche d'inspiration. Rejoignez-moi dans cette aventure littéraire, où chaque histoire est une fenêtre ouverte sur un univers de rêves et de découvertes.
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Le bœuf qui aimait le cinéma

Dans l’ombre d’un monde qui sans cesse se trame,
Se lève une histoire, celle d’un bœuf aimant le cinéma.
Ses yeux grands ouverts sur les étoiles de la trame,
Une toile d’un écran qui en secret le fit roi de la drama.

Dans l’aube naissante de la ville qui vacille,
La lumière d’un projecteur le couvre de ses brillances,
Un héros muet parmi les pavés, sans artifice,
Chaque ruelle, un nouvel acte, une nouvelle chance.

Il marche, impassible au tumulte des hommes,
Dans ses yeux se mirent des scènes d’autres mondes,
Chargé de rêves, de pellicules et de chromes,
De celluloïd brûlant où son esprit vagabonde.

Au coeur de la cité, la salle s’éveille,
L’air vibre d’histoires, de murmures, d’appels,
Le bœuf, ébloui, sur l’écran vermeil,
Trouve sa vérité, sa passion, son essentiel.

Les fables d’antan, les drames modernes se nouent,
Des galaxies lointaines aux profondeurs du sentiment,
Il dévore les œuvres où l’humanité se joue,
Douce symphonie d’images, de sons, mouvement.

À travers son regard, chaque détail prend vie,
La nuance d’un geste, la cadence d’un dialogue,
Emportée par un souffle de poétique magie,
L’existence s’éveille, à l’écart du tumulte et du chaos.

Il rêve en silence, sculpteur de ses fantasmes,
Devenir acteur, spectateur, réalisateur de ses joies,
Dans cet amphithéâtre où se tisse l’enthousiasme,
Laisser son empreinte, en quatre actes, avec foi.

Personnages éphémères, échos d’amours éternels,
La virtuosité des artistes, cela le consume,
Flammes qui dansent dans des prunelles fraternelles,
Le bœuf, héros de l’ombre, en ses rêves s’allume.

Chaque histoire le transporte dans un voyage sans borne,
Où l’infime et l’immense ensemble se rencontrent,
Ses sabots sur la piste des astres qui détonnent,
Il suit la quête d’un sens entre les lignes qui le contentent.

Dans l’alcôve du théâtre où les ombres parlent,
Il découvre les trésors de l’âme humaine,
Les passions qui s’entrelacent, les destins qui déraillent,
Et dans ce monde de toiles, libre, il se déchaîne.

Le bœuf, fasciné, aimant le cinéma,
De l’aurore au crépuscule, embrasse l’épopée,
Le fil des émotions, tissé de joie et de drame,
Ce roman visuel où chaque homme est relié.

Le rideau se ferme, les lumières se tamisent,
Il porte dans son cœur le récit des héros,
Respire l’expiration des amours qui se brisent,
Et les leçons tirées des échecs et des défauts.

Au final, le message, lumineuse étincelle,
Qui sous le scintillement des écrans nous convie,
C’est que les mots, les images et la musique s’entremêlent,
Pour parler de la vie, de ses tours et abysses.

Le bœuf, amoureux des arts, du drame et des rires,
Dans son âme a fait écho aux frissons de l’existence,
De l’écriture d’un monde où l’on peut tous s’inscrire,
Il nous apprend que vivre, c’est saisir la quintessence.

Le cinéma, miroir des milliers de destins,
Un fleuve où coule l’encre des sentiments universels,
Nous unit en un tout, vaste et serein,
Dans lequel même un bœuf trouve sa parcelle de ciel.

Ainsi se termine notre conte, douce mélodie des âmes,
Le bœuf qui aimait le cinéma, un reflet de notre flamme,
Dans l’oasis des arts, où chaque vérité se proclame,
Une invitation à regarder, aimer, et enfin, vivre la trame.

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