Il était une fois un bœuf pas comme les autres, un bœuf qui aimait le cinéma plus que tout. Sa passion pour les films était si forte qu’elle dépassait de loin celle de ses congénères pour les herbages verdoyants et la douce brise d’été. Le bœuf avait une âme de cinéphile, et dans cet univers qu’il aimait tant, il trouvait des émotions, des images et des histoires qui le faisaient rêver. Venez avec moi, laissez-moi vous raconter l’histoire du bœuf qui aimait le cinéma. Dans une ferme reculée, vivait un bœuf très rusé,
Qui passait son temps à rêver, la tête en l’air, les yeux émerveillés.
Il aimait se perdre dans des mondes enchantés,
Où les héros combattaient, triomphaient, pour le plaisir de nos yeux ébahis.
Il y avait des films d’aventures, des histoires d’amour,
Des comédies déjantées, où les personnages faisaient toujours un détour.
Ce bœuf-là était si accro, qu’il en oubliait parfois de brouter,
Son estomac criait famine, mais rien ne pouvait le détourner.
Il s’imaginait acteur de renom, les sabots dans les étoiles,
Et il espérait chaque jour, devenir bientôt la nouvelle idole.
Un jour, il eut la chance de s’échapper, de sa ferme d’enfermement,
Il se précipita au cinéma, enfin libre de tous ses tourments.
Il s’installa dans la salle, et se mit à rêver,
Aux aventures incroyables, qu’il allait bientôt vivre, inconsciemment enivré.
Le film commença, et le bœuf ne put s’empêcher de hurler,
À chaque climax, à chaque réplique, il applaudissait, émerveillé.
Mais à la fin du film, lorsqu’il se retrouva en plein désert,
Il comprit que pour de vrai, cette vie n’était pas faite pour lui.
Il était un bœuf, et non une star de cinéma,
Et il comprit qu’il devait rentrer, brouter dans les champs, et penser un peu plus à sa santé.
Alors il retourna dans sa ferme, la tête haute, l’âme enjouée,
Et il ne manqua jamais une occasion, de remercier le cinéma de l’avoir libéré.
Et si vous voulez un message à la fin de mon poème,
C’est qu’il ne faut jamais abandonner, ses rêves, mais qu’il ne faut pas non plus oublier qu’on est soi-même. Oui, Le bœuf qui aimait le cinéma,
vous avez entendu son murmure
l’envie de rêver sur grand écran,
s’imprégner de la lumière pure.
Il a suivi son cœur passionné,
défiant les normes et préjugés,
trouvant son bonheur dans la révérence
du cinéma, tant de beauté en abondance.
Son histoire nous rappelle avec force
qu’il n’y a pas de limite à notre ressource
quand nous suivons notre passion ardente
et écoutons notre âme indépendante.
Peut-être que nous aussi, comme Le bœuf,
pouvons vivre nos rêves les plus fous,
embrassant la vie avec courage
et découvrant ainsi notre propre langage.
Alors, engageons-nous dans la recherche,
pour trouver notre pays de fée,
car tout comme Le bœuf qui aimait le cinéma
nous pouvons accéder au paradis de nos désirs les plus fascinants.