Plume de poète
Plume de poète
Bienvenue sur mon blog, je suis Nathalie Cali, dans les recoins tranquilles de mon quotidien, j'explore l'art de tisser des mots en poèmes et histoires pour enfants, chaque texte que je partage sur unpoeme.fr est un fragment de mon imagination, conçu pour éveiller la curiosité et l'enthousiasme des jeunes esprits, qand je n'écris pas, je me plonge dans le monde des livres, toujours à la recherche d'inspiration. Rejoignez-moi dans cette aventure littéraire, où chaque histoire est une fenêtre ouverte sur un univers de rêves et de découvertes.

Les larmes de Marie-Antoinette

Les larmes de Marie-Antoinette

Dans un royaume teinté d'ombre et de lumière,
Où les rêves s'entremêlent aux réalités démentes,
Il était une fois, sous le ciel français, en terre,
L'histoire d'une reine, de ses peines si ardentes.

Marie-Antoinette, figure d'une époque révolue,
Portait sur ses épaules le poids de l'or et du sang.
Dans les jardins de Versailles, perdue,
Elle pleurait, son visage aussi pâle que l'argent.

Les larmes coulaient, perles cristallines,
Sur les joues de celle qui fut jadis adorée.
Chaque goutte, une histoire, fine,
De promesses faites et de destins altérés.

Les roses avaient perdu leur éclat sous son regard,
Chaque pétale, un souvenir, un souffle du passé.
Dans le miroir de son âme, tout semblait hagard,
Un cœur autrefois plein d'amour, à présent glacé.

Elle errait, fantôme parmi les vivants,
Dans les couloirs de marbre, silhouette voilée de mystère.
Les murmures du vent lui parlaient, langage des absents,
Lui racontant des histoires de la terre et de la mer.

Ô Versailles, palais de splendeur et de désespoir,
Témoin silencieux des joies et des peines de la cour.
Ton histoire est un tissu brodé de mémoire,
Un labyrinthe de passions, de fin et de toujours.

Dans la nuit étoilée, elle cherchait la lumière,
Un phare dans l'obscurité, la douceur d'un espoir.
Mais tout ce qu'elle trouvait, c'était le visage austère,
De la réalité, reflet d'un désespoir noir.

Les larmes de Marie-Antoinette, telles des rivières,
Traversaient les âges, miroir de notre humanité.
Chaque larme, une leçon, un éclat de lumière,
Sur notre propre existence, notre fragilité.

De ses yeux, coulaient les questions sans réponse,
Sur le sens de la vie, le poids de nos choix.
Dans le silence de son cœur, une danse,
Entre le désir de vivre et la peur de la foire.

Les jardins de Versailles, témoins de ses secrets,
Ont vu les saisons passer, les amours fleurir.
Mais sous la beauté des fleurs, se cachent des regrets,
Des histoires oubliées, prêtes à resurgir.

Et si les pierres pouvaient parler, elles raconteraient,
La vie de ceux qui ont aimé, souffert et rêvé.
Chaque recoin du palais, une ombre projetée,
Sur la toile du temps, échos d'une éternité.

Les larmes de Marie-Antoinette sont devenues ruisseaux,
Coulant à travers l'Histoire, touchant chaque cœur.
Un symbole de notre propre quête, si belle, si sereine,
Pour trouver la lumière, même dans l'heure la plus noire.

Elle nous apprend que dans nos moments de détresse,
Y repose une force, un courage inattendu.
Que même dans la tourmente, la beauté peut naître,
Et que chaque larme versée nous rend un peu plus têtu.

Ainsi, quand vous traverserez les jardins de Versailles,
Souvenez-vous de celle qui a marché avant vous.
Chaque pas, une histoire, une voix qui ne faillit,
Un rappel tendre que la vie est un bijou.

Les larmes de Marie-Antoinette, bien plus que de l'eau salée,
Sont un testament de la complexité de l'âme humaine.
Elles nous invitent à embrasser notre propre vérité,
À chercher la beauté, même dans la douleur et la peine.

Ainsi se termine l'histoire, sous le ciel étoilé,
D'une reine, d'un royaume, d'une époque révolue.
Mais les leçons demeurent, éternelles, gravées,
Sur le cœur de l'humanité, toujours continu.

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