Les rêves en partage
Dans le berceau de la nuit
Où les étoiles se confient,
Se tisse le fil de nos rêves,
Éclairs d'espoir où l'âme se lève.
Sur les ailes du vent,
Les rêves flottent, libres amants,
Frôlant les cœurs en quête de lumière,
Chuchotant au monde une prière.
Dans cette valse des désirs,
Où l'imaginaire ose s'offrir,
Chaque songe devient un voyage,
Une quête de sens, un hommage.
Entre les doigts de la tristesse,
Les rêves tissent leur promesse,
Peignant nos nuits d'espoirs infinis,
Brisant les chaînes des non-dits.
Voici venir l'aurore,
Dans sa robe d'or et d'aurores,
Éveillant les rêves endormis,
Ouvre les portes de l'infini.
Les rêves, ces messagers silencieux,
Dans leur ballet merveilleux,
Nous rappellent que dans la pénombre,
Se cachent des mondes sans nombre.
Que serait la vie sans nos rêves,
Sans ces espoirs qui sans trêve,
Nous poussent à dépasser les frontières,
À croire en un monde meilleur, en la lumière ?
Ils sont la trame de nos vies,
Sans eux, tout paraît si petit…
Les rêves sont la preuve que l’âme vit,
Qu’au-delà des sombres nuits, le cœur palpite.
Pétris d'imaginaire et de réalité,
Les rêves sont cette dualité,
Invitant à l'audace, à la création,
Vers des horizons où tout est en gestation.
Ils sculptent nos désirs, nos peines,
Dans le marbre de nos scènes,
Révélant la profondeur de l'être,
Dans un monde tout à reconstruire, à renaître.
Les rêves sont des ponts entre les âmes,
Des liens tissés de douces trames,
Ils sont le miroir de nos envies profondes,
L'écho de notre moi, vastes et féconds.
Majestueuse symphonie des possibles,
Les rêves sont des îles invisibles,
Des refuges où l'âme peut danser,
Libre, dans l'étreinte de l'immensité.
Osons donc rêver, sans peur, sans limite,
Que chaque rêve devienne un mythe,
Car dans l'alcôve de nos cœurs intimes,
Les rêves sont les vers d'une poésie sublime.
Et quand vient le jour de leur partage,
Ils se métamorphosent en un sage héritage,
Tissant entre nous un lien indélébile,
Un pont arc-en-ciel, pur et fragile.
Rêvons, donc, ensemble, main dans la main,
Dans ce jardin où tout est chemin,
Que nos rêves deviennent la semence,
D'un monde nourri de bienveillance.
Car dans le silence de nos veilles,
Nos rêves sont comme des soleils,
Illuminant l'obscurité, montrant la voie,
Vers un demain où tout a droit de roi.
Ainsi les rêves en partage,
Tissent la trame de notre ouvrage,
Écrivant le poème de notre humanité,
Dans la splendeur de sa diversité.
Que nos rêves se posent sur le monde,
Comme une douce caresse féconde,
Pour que jamais ne s'éteigne l'espoir,
Que dans chaque cœur, puisse éclore un soir.
Un soir où les rêves se font ponts entre les êtres,
Dans l'unisson de nos quêtes,
Où la vie, enfin réconciliée,
Révèle en son sein, la beauté des rêves partagés.
Les rêves en partage, étoiles de nos nuits,
Gardiens de nos vies, souffles de l'infini,
Que leur lueur guide nos pas,
Vers demain, où chaque rêve, enfin, prendra sa place.
