La brume des sentiments

Dans les paysages du cœur, j’ai trouvé l’abîme du désir,
l’horizon embrasse une brume qui vacille comme un saphir.
, le doux zéphyr murmure des secrets passionnément,
Mais ainsi commence mon récit d’amour incessamment.

Mes yeux encore fatigués, cherchant une silhouette lointaine,
Je vois l’envolée d’un amour, un oiseau ivre d’émotions sereines.
Le ciel s’embrase, l’univers suspend son souffle et s’émeut,
Par la beauté étincelante d’une âme que je n’avais entrevu.

Ta présence perce les ténèbres, guidant la lumière à mes pas,
Chaque étreinte, chaque rêve, où au creux de tes bras,
La chaleur de tes baisers sur ma peau enivre tous mes sens,
Et les étoiles nous contemplent, éblouies par notre romance.

O toi, amour, tu tisses les fils d’or de l’éternité enlacée,
Éveillant chaque fibre de mon être, j’entends ta douce mélopée.
Tant de soupirs échappés, tant de caresses échangées,
Nous sommes deux amants perdus dans cette brume enchevêtrée.

La lueur insaisissable de tes yeux à mes sources envolées,
Les chemins tortueux que l’on arpente, main dans la main, égaillés,
Un voyage sans fin entre les ombres de nos cœurs désaltérés,
Et puis s’épanouir en une fleur, aimer à en devenir aliéné.

La brume des sentiments, ma plume se délecte de tes émois,
J’écris avec la rosée des mots, pour toi, tendre amour, et pour moi.
Car la quête est ardente, cet amour qui brûle à vif notre âme,
Ne peut être apaisé que lorsque nos cœurs s’éprennent de la flamme.

À tout instant, les cloches tintent pour célébrer notre hymne sacré,
Des confins du temps, nos corps enlacés sont à jamais liés.
Mais, comme la brume, notre amour demeure insaisissable
Changeant, évanescent, une étreinte fugace, indicible.

Au gré des saisons, notre amour fleurit avec délice,
De l’aube radieuse aux soirs emplis de promesses complices.
Les tempêtes viendront, elles gronderont et secoueront nos feuilles,
Toutefois, l’amour survivra, enraciné dans la chaleur de ta veille.

La brume des sentiments, suffocante et enivrante à la fois,
Un tourbillon d’émotions qui défie la gravité et les lois.
Au plus profond de mon être, je t’étreins, mon amour,
À travers les clairs-obscurs de nos jours, épris à jamais, sans détour.

Et quand la brume se dissipera, révélant l’ultime vérité,
Que nos cœurs auront fusionné sous le poids de l’éternité,
Alors, mon humble poème ne sera que souffle évaporé,
Car aucun mot ne peut exprimer l’essence de notre amour immensément, in-saisis-sable.

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