À l’aube d’une nouvelle journée, lorsque les ombres se dissipent et que le monde s’éveille, le soleil, ce roi des cieux, fait son entrée majestueuse. Sa lumière dorée caresse tout ce qui existe, insufflant chaleur et vie dans les cœurs endormis. Ce poème s’élève pour honorer cet astre brillant, témoin des amours, des rires et des espoirs, une mélodie naturelle résonnant à travers chaque feuille, chaque fleur, chaque regard levant vers son éclat.
Ô Soleil, flambeau des cieux infinis,
Tu es la promesse d’un jour enchanteur,
Avec ta lumière, tu peins les abris
Des ombres fuyardes, ô chaleur, ô douceur.
Dans le jardin où les roses s’éveillent,
Tu es l’artiste peintre au grand tableau vert,
Chaque pétale s’ouvre, rayonnante veille,
Sous tes caresses, le doute se perd.
Quand monte l’aube, et que le monde s’éveille,
Tu étends tes bras sur la plaine dorée,
Les rivières chantent, et même l’abeille
S’enivre de ton nectar, douce clarté.
Rayon d’or, tu effaces les peines,
Tes éclats brisent les chaînes du noir,
Dans le ciel pur, s’envolent les rengaines,
Une danse de lumière, le cœur en miroir.
À l’horizon, se dressent les montagnes,
Fiers sentinelles de ton incomparable règne,
Et lorsque tu plonges, la nuit se baigne
Des reflets chauds que ta lumière étreigne.
Dans l’ultime souffle, avant que tu partes,
Chaque étoile allume le ciel, en silence,
Mais ta chaleur demeure, douce, éparse,
Dans nos âmes, un écho de ta danse.
Rappelle-toi, cher lecteur, que chaque jour, lorsque tu te réveilles sous le regard bienveillant du soleil, tu es enveloppé dans un cycle de vie et d’espoir. Chaque rayon qui effleure ta peau est un murmure d’encouragement, une invitation à chasser les ombres et à embrasser la lumière. Célébrons ensemble cette source infinie de chaleur et de beauté, et que chaque instant passé sous son éclat soit un hommage à la nature qui nous nourrit et nous élève.
