Avec le vent
Je pense de cette pluie le fait
Et ainsi manger
À ce travail quelconque
Semblant correspondre
Au rude matérialisme dominant
Rien moins qu’une habitude
De la mémoire l’esprit humain
Pénètre au cœur des bêtes Ô doute pâture dernière
Le mécanisme en est encore
Un absolu dégradé intelligent
Par l’abondance des allusions
Instinctives orientant la démarche
Simple des répétitions
Liberté de la nature volontaire
Aux passions immodifiables
De la connaissance sexuelle
Conduisant vers le but affaibli
II
Visage au ciel et pur
Avec le vent je pense
Au faîte de la pluie
Manger de ce travail
Conque semblable
Cimérienne de l’isthme
Dominant
Nier moins qu’une habitude
De la mémoire l’esprit
O bêtes pâture douteuse
Du cœur
Le dégradé intelligent
De l’absolu des allusions
Oriente la démarche instinctive
Des répétitions dégradées
Liberté conduisant
Vers le but immodifiable
La connaissance sexuelle
Des passions affaiblies
Ô ciel visage pur
De la pluie défait le vent
Des banquises et ainsi
Le travail ne manque
Aux cœurs subjugués
Néanmoins une habitude
Nie l’habitude l’esprit
Des bêtes au fond des pâturages