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Psaume Cxxi
Le Psaume Cxxi de Jean Antoine de Baïf est un magnifique exemple de poésie religieuse du XVIe siècle, explorant les thèmes de la protection divine et de la foi. Écrit dans un contexte où la spiritualité était cruciale, ce poème résonne encore aujourd’hui par son message d’espoir et de sécurité offerte par le Seigneur. Plongez dans cet univers où la vigilance divine se mêle à la recherche de soutien spirituel.
Levavi oculos meos in montes. Sur le haut des monts, çà et là regardant, J’ai levé mes yeux, si secours me viendrait, Mon secours me vient du Seigneur, qui fit les Terres et les cieux. Il ne souffrira le Seigneur, que ton pied Bronche faux marchant. Il ne dormira pas Lui qui est ton garde : il ne dormira pas Non, ni ne prendra Nul sommeil, lui, lui vigilant qui vient seul Israël garder. Le Seigneur te gardra : Voire il t’ombrera le Seigneur ; à ta droite Il se tiendra. Les rayons ardents du Soleil de plein jour, Ni de nuit la lune, n’iront t’offenser ; Ains de tout danger, le Seigneur te gardra : L’âme il te gardra. Quand dehors sortir du dedans tu voudras, Quand dedans rentrer du dehors tu viendras, Il te gardera le Seigneur désormais Partout et toujours.
Ce poème nous rappelle l’importance de la foi en la protection divine dans les moments d’incertitude. N’hésitez pas à explorer d’autres œuvres de Jean Antoine de Baïf pour découvrir la richesse de sa poésie et son impact sur la littérature française.