Les murmures de la création
Dans l'immensité d'un ciel étoilé,
Le souffle du monde commence à murmurer,
Une mélodie douce, presque oubliée,
Un chant d'amour et de mystère à percer.
Les étoiles filantes, messagères de luit,
Tissent des mots dans le velours de la nuit,
Elles racontent l'histoire de l'univers,
Un poème sans fin, libre et divers.
Chaque vague de l'océan, puissante et fière,
Porte en elle un secret, un mystère,
Une ode à la vie, profonde et sincère,
Qui caresse les rivages de la terre.
Les arbres séculaires, gardiens des temps,
Leurs feuilles susurrent des vers au vent,
Des épopées de racines et de sèves,
Où chaque mot s'entrelace et sans trêve.
Dans le cœur flamboyant d'un coucher de soleil,
Se cache l'espoir, tendre et sans pareil,
Un spectacle de couleurs, chaud et fidèle,
Qui réchauffe l'âme jusqu'à l'étincelle.
La nuit, dans son manteau de silence,
Recueille les rêves et leur essence,
Elle offre un refuge à l'imaginaire,
Un monde où tout devient possible, éphémère.
Les montagnes, dans leur majesté stoïque,
Racontent des légendes à la voix éloquente,
Des histoires gravées dans la pierre et l'air,
Un héritage de force, beau et austère.
Sous le scintillement d'un clair de lune,
Un ballet d'ombres danse, une à une,
Un spectacle discret, doux et serein,
Où la nature se révèle, sans aucun frein.
Le zéphyr du matin apporte un nouveau chant,
Une balade fraîche, promesse d'un printemps,
Un renouveau constant, vibrant et éclatant,
Où chaque jour est un début, inspirant.
Dans le murmure d'une cascade cachée,
Se trouve la persévérance, jamais lassée,
Une force tranquille, persistante et claire,
Qui sculpte la pierre, patiente et fière.
Les saisons, dans leur cycle éternel,
Dépeignent la vie dans un ballet universel,
Une symphonie de changements et de constance,
Où chaque note joue sa propre danse.
L'humanité, spectatrice et actrice,
Tisse sa trame dans ce tableau idyllique,
Une pièce complexe, riche et profonde,
Où chaque vie est une étoile dans la ronde.
Dans la lumière d'une aurore boréale,
Se révèle un espoir, pur et idéal,
Un instant de grâce, vibrant et royal,
Qui nous rappelle que tout est lié, crucial.
La création, dans son infinie sagesse,
Murmure à ceux qui écoutent, une promesse,
Un appel à l'amour, à l'unité, à la tendresse,
À reconnaître la beauté, dans sa simple délicatesse.
Et dans le silence d'un monde endormi,
Résonne l'écho d'une vie infinie,
Un cycle sans fin de mort et de renaissance,
Qui enseigne l'humilité et la patience.
Les murmures de la création, vastes et sauvages,
Nous invitent à un voyage, un hommage,
À la vie, dans toute sa splendeur et sa variété,
Un poème à vivre, avec amour et intégrité.
Que ces mots, tissés de lumière et d'ombre,
Rappellent la valeur de chaque jour, sans encombre,
Et que dans le cœur de cette existence éphémère,
Brille la beauté de l'univers, mystère.
Ainsi se termine notre ode à la création,
Un hymne à la vie, à l'imagination,
À la quête de sens, dans notre réalité,
Un voyage à poursuivre, avec curiosité.
Puissent ces vers, dans leur humble manière,
Éveiller les cœurs, ouvrir les frontières,
Et révéler, dans chaque souffle de l'air,
Les murmures de la vie, uniques et solitaires.
