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La féérie des illusions

La féérie des illusions

Dans le silence de l'aube naissante,
Une lumière douce se faufile, insistante.
Elle danse sur les toits, éveille la cité,
Dévoile un monde où tout semble inventé.

À l'horizon, des mirages se dessinent,
Comme des étoiles filantes, des destins qui s'inclinent.
La quête commence au premier rayon,
Où les rêves s'envolent, sans aucune raison.

Couplets de l'aurore:
Les rues s'éveillent dans un souffle de vie,
Chaque pavé recèle une magie infinie.
Là, un vieil homme chante l'espoir,
Son regard pétri de mille histoires.

Les arbres murmurent dans le vent léger,
Feuilles frémissantes, portant des secrets.
Le monde est une toile, vibrant sous nos doigts,
Peint de couleurs qui défient toute loi.

Au cœur du jour:
La foule ondule, marée humaine insoumise,
Chacun portant en soi une lumière indécise.
Des amours naissent, des espoirs se brisent,
Dans ce carrousel, chaque instant est une prise.

Les visages défilent, mosaïque de vies croisées,
Chaque regard, une porte vers des univers osés.
L'âme de la cité bat au rythme des passions,
Flamme éternelle, nourrie par tant d'émotions.

Vespérale symphonie:
Quand s'annonce le crépuscule, dans un ciel enflammé,
Les illusions se parent de teintes dorées.
Le monde ralentit, respire enfin,
Goûtant au calme qui précède le destin.

Les ombres s'allongent, dessinant des rêves,
Sur le pavé, elles s'entremêlent, s'élèvent.
La nuit s'annonce, avec ses mystères voilés,
Où les illusions se font réalités.

Épilogue sous les étoiles:
Dans le silence où les mots sont de trop,
Se trouve la beauté de l'existence, si sibyllin écho.
Car dans la féerie des illusions, substance de notre quête,
Réside le sens de la vie, énigme complète.

Chaque illusion est un spectacle offert,
Un chemin de lumière dans l'univers désert.
Elle guide nos pas vers le renouveau, l'inattendu,
Tisse la trame d'un monde toujours vu, jamais retenu.

Ainsi, à travers les brumes de l'aurore,
Et au-delà des ombres du soir qui dorent,
La féérie des illusions nous invite à croire,
À l'infini des possibles, histoire après histoire.

Dans l'écho de notre silence,
Les illusions sont des phares, lumière d'espérance.
Elles forge notre humanité, dans sa plus pure essence,
Nous rappellent que la vie, en tout, est une immense danse.

À travers ce poème, un voyage se termine,
Non pas comme un adieu, mais quête qui s'affine.
Les illusions, ces doux mensonges qui nous bercent,
Sont le sel de l'existence, sans lesquelles tout s'averse.

Laissons donc la magie des illusions nous emporter,
Dans leurs étreintes, découvrir la beauté de nos réalités.
Car c'est en rêvant, en osant, en aimant,
Que la vie trouve son sens, vibrant et dansant.

La féérie des illusions, éternel ballet,
Où chaque pas, chaque souffle, est une poésie détaillée.
Elle nous enseigne la grâce de l'éphémère,
Et dans ses voiles, découvre l'univers tout entier.

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