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La Complainte de Salomon et la Reine de Saba

Dans le velours obscur d’une nuit sans étoiles,
Se tissent les secrets en des mots de cristal.
La Complainte de Salomon et la Reine de Saba
Ondule en doux murmures sur les lèvres d’opale.

D’un amour éternel, ils rêvaient sur le sable,
Des lendemains dorés, d’un bonheur sans égal,
La sagesse du roi, aux éclats de métal,
Rencontrait la splendeur d’une reine, inestimable.

Au commencement était l’écho du désir,
Dans le souffle des vents, unissant Orient, Occident,
La promesse d’une union au-delà des empires,
Tissant une toile où le temps paraît absent.

Salomon, sage penseur aux mille et un conseils,
Devant la reine de Saba, trouvait son cœur en éveil;
Telle une rose s’ouvrant aux caresses du soleil,
Il s’abandonnait à elle, sans crainte ni pareil.

La reine, en sa splendeur, dépassait les légendes,
D’une beauté troublante, elle rayonnait l’allégeance,
Yémen à ses pieds, comme un jardin suspendu,
Elle incarnait le rêve éveillé, jamais déchu.

Ses jardins d’encens, ses caravanes d’épices,
Sa sagesse, son amour, défiaient toute malice,
Saba, ô terre de miel, terre promise,
N’avait d’égale que son âme complice.

La parole fut donnée, tissant l’invisible,
Les mots, ces architectes du sentiment indélébile,
Bâtissaient un palais où la pensée s’envole,
Avec la délicatesse d’une fragile auréole.

Le dialogue naissant, puissant et singulier,
Déployait leurs âmes en un ballet imagier,
Salomon et la reine, aux regards enivrés,
Témoignaient d’un amour où tout s’est cristallisé.

Les caravanes passaient sous la voûte céleste,
Portant leurs échos, comme un tissu céleste,
Dans la valse des dunes, sous le ciel vespéral,
Se liaient les serments, promesses intemporelles.

Chaque grain de sable, mémoire de la Terre,
Racontait l’histoire, celle d’une prière,
Pour que l’amour survit, au-delà des frontières,
L’étreinte des mots forts, des liens primordiaux.

La reine, en ses jardins, susurrait la sérénité,
Salomon, par ses vers, louait la fidélité,
Et dans ce monde éphémère de beauté fanée,
Leur union est restée, telle une étoile scintille.

La sagesse, en son essor, franchissait l’horizon,
Libérant les énigmes, les tourments et leurs frissons,
Saba et Jérusalem, unies par émotion,
Dévoilaient un amour, pur comme l’horizon.

Les jours se succédaient, d’une éternité discrète,
Et le temps s’écoulait, dans la danse secrète,
Salomon et sa reine, dans l’alchimie du monde,
Ont embrasé les cœurs, de leur flamme féconde.

La poésie de leur rencontre, habillée de lumière,
Illumine encore les pages des poussières,
Un amour qui triomphe, réveille l’espérance,
De ceux qui cherchent encore leur complémentaire danse.

Le trône de Saba, la sagesse de Salomon,
Muets témoins du temps, sous le soleil qui rayonne,
Leurs noms entrelacés sur la pierre et le pergamin,
Vivent en nos mémoires comme un chant lointain.

Pour qu’un jour, peut-être, sous le firmament,
Un poète épris, de passion, de talent,
Captive de nouveau, par ses vers l’alchimie
De ce roi et cette reine, énigme poésie.

Ainsi, sous la caresse d’une brise légère,
S’achève la complainte, encore mystère,
Que murmurent les flots, que chantent les vents,
Que porte notre esprit, en voyageant.

Ce poème dévoilé, aux allures de légende,
Confie à l’horizon, un message qui s’étend :
L’amour, la sagesse, en ce monde, sont éternels,
Brillent chaque jour, de leur éclat universel.

**La Complainte de Salomon et la Reine de Saba**
Reflet d’une passion que le temps n’efface pas.
Ainsi va la vie, un tissu de rêves tissés,
Où chaque fil voyager, destinés à s’enlacer.

Découvrez dans les vers, sous le poids de l’encre,
La danse des sentiments, la beauté qui s’encre.
Puisse cette histoire, témoin de l’invisible,
Éclairer les cœurs, en un souffle indicible.

C’est au creux du langage que bat l’âme humaine,
Universelle et riche, en sa quête souveraine.
Au fil des mots se dessine notre être,
Et dans l’écho d’une rime, on peut naître.

Épris de vérité, que la vie se confonde,
Dans l’amour du verbe, la passion, qui féconde,
Et que résonne encore, dans une douce clameur,
Le chant de deux amants, berceau de notre chaleur.

De ce message en vers, tirons le fil doré,
Que tisse dans nos corps, un destin étoilé.
À l’encre de nos veines, écrivons la légende,
Et que vive en chaque cœur, l’histoire qui nous comprend.

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