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Le Corbeau et le Renard: Une Danse de Ruse dans la Forêt des Fables

Embarquez dans un voyage poétique avec « Le Corbeau et le Renard », une fable intemporelle qui se déroule dans une forêt enchantée. Découvrez à travers des vers captivants le jeu d’esprit entre un corbeau arrogant et un renard rusé, une danse de ruse et de sagesse magnifiquement illustrée.

Dans la forêt, aux frontières du réel et du songe,
Un corbeau perche, fier, tenant en son bec un fromage.
Du haut de son arbre, gardien des légendes d’antan,
Il observe, il contemple, sûr de lui et arrogant.

Le soleil se glisse entre les failles des feuillages,
La brise transporte un concert de doux ramages.
La scène se peint de lumière et d’ombre mêlée,
Un tableau vivant où la fable va se nouer.

Au détour d’une racine, un renard s’avance rusé,
L’œil malin, la démarche féline et mesurée.
Son museau frémit aux effluves du mets convoité,
Éveillant en son cœur l’art consommé de la tromperie.

« O toi, noble émissaire du monde des cieux,
Ton plumage rivalise avec le bleu des dieux.
Jamais, au grand jamais, n’ai-je vu plus belle envergure,
Corbeau, mon ami, tu es l’apogée de la nature. »

Le corbeau, charmé, lisse ses ailes d’encre noire,
L’égo gonflé par ces flatteries à sa gloire.
Ne soupçonnant point l’astuce qui se dessine,
Il écoute le renard, ce troubadour des collines.

« Si ta voix, seigneur de ces bois, égale ta parure,
Alors sans aucun doute, tu es la créature
Qui mériterait sans conteste tous les lauriers
D’ici jusqu’aux étoilés sanctuaires féeriques. »

Tenté par le désir d’étaler son talent,
Le corbeau s’ébroue et prépare son chant.
Mais voilà que le fromage, en chute libre s’abandonne,
Vers les pattes du goupil qui déjà le fredonne.

Au triomphe narquois du rusé opportuniste,
Le corbeau, stupéfait, comprend la supercherie.
Des mots doucereux jaillit la ruse de l’artiste ;
Dans un soupir, il apprend la leçon de cette comédie.

« Ô sombre ami, retiens la sagesse de ta mésaventure,
Ne laisse pas la vanité troubler ta raison pure, »
Dit le renard en partageant le fromage en miettes.
« Car dans ce monde complexe, tout est conquête et quête. »

Dans cet écho d’ombres et de flots lumineux,
Le corbeau réinvente son chant mélancolieux.
Il sait désormais que les mots, tels des joyaux froids,
Peuvent ensorceler un cœur et dérober un choix.

Les âmes des bois murmurent cette morale profonde :
La vertu se tient dans la prudence qui gronde.
Et dans l’écoute du vent, de la terre, du feuillage,
Réside le véritable héritage du sage.

Ainsi, chaque créature en quête de son destin,
Trouvera dans « Rêveries du Corbeau et du Renard » un chemin.
Que la fable sème en nos esprits l’intelligence et la prudence,
Puisque dans chaque histoire réside une éternelle clémence.

Qu’elle soit écrite dans les étoiles ou gravée dans les pierres,
Notre essence trouve sa richesse à travers ces mystères.
Le corbeau et le renard, dans leur danse éphémère,
Offrent à nos regards une leçon d’existence sincère.

Car bien que l’histoire ancienne se perd dans l’infini,
Les échos des paroles sagement dites ne sont jamais finis.
Garde en ton cœur le souffle de cette fable éternelle,
Où la ruse rencontre la sagesse, et l’ombre combat avec elle.

Dans la forêt qui se tait, le corbeau et le renard
Ont tissé un récit qui traverse les époques, hagard.
Et le monde s’endort au murmure de leur légende,
Où le fromage d’un oiseau devint le sage apprentissage, tendre.

Que l’homme écoute et apprenne de ces êtres ailés,
Que parfois le silence vaut bien des mots prononcés.
Ainsi périt l’orgueil devant la ruse silencieuse,
Et le corbeau déplore sa confiance présomptueuse.

Mais dans son âme noire, une étincelle demeure,
Le désir de connaître, de grandir et d’apprendre.
Ainsi s’achève la rêverie, sombre beauté, bonheur amer,
« Le corbeau et le renard », une fable pour l’éphémère.

Dans le tissu du temps, la sagesse est un fil d’or,
Et la prudence, la trame qui unit le sort.
Garde cette fable comme un trésor dans ton esprit,
Car en chaque enseignement, un futur se dessine et sourit.

Adieu forêt, adieu corbeau, renard s’en va, discret,
Mais dans nos cœurs perdure l’histoire de leur secret.
« Rêveries du Corbeau et du Renard », un murmure qui invite
À l’intelligence et à la prudence dans la nuit qui s’invite.

Que cette fable vous inspire à embrasser l’intelligence et la prudence dans votre propre vie. Comme le corbeau et le renard, nous sommes tous des joueurs dans le grand jeu de la vie, où chaque mot et chaque action ont leur importance. Puissiez-vous emporter avec vous la sagesse de cette histoire et l’appliquer dans vos aventures quotidiennes

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