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Bobby le Bricoleur et ses Inventions Drôles

La Découverte de Bobby

Illustration de La Découverte de Bobby

Dans un petit coin de la ville, un jeune bricoleur nommé Bobby s’apprêtait à vivre une journée mémorable. Les premiers rayons du soleil filtraient à travers la fenêtre de sa chambre, illuminant un espace déjà bien chaotique : des outils de toutes sortes, des vis, et des morceaux de bois traînaient autour de lui comme les vestiges d’une grande aventure. Bobby, avec ses cheveux blonds ébouriffés et ses yeux bleus pétillants d’enthousiasme, était un imbattable inventeur en herbe qui ne connaissait qu’une seule limite : son imagination.

Aujourd’hui, Bobby avait décidé de créer sa toute première invention : une machine à distribuer des bonbons. Enfilant sa salopette à carreaux et ajustant sa casquette sur sa tête, il se pencha sur son bureau encombré. « Il me faut du fil électrique, quelques canettes vides et, bien sûr, plein de bonbons ! » murmura-t-il avec détermination.

Tout en s’appliquant à rassembler ses affaires, Bobby imagina son invention. « Imagine si mes amis pouvaient obtenir des bonbons à la demande, sans même bouger ! » s’exclama-t-il, ses yeux s’illuminant à l’idée du festin sucré qu’il promettait. Le plan était simple : il construirait une machine qui, grâce à un petit levier, libérerait une pluie de friandises colorées.

Après avoir longuement travaillé, en insérant chaque pièce avec soin, Bobby recula pour admirer son chef-d’œuvre. À première vue, il ressemblait à un mélange audacieux de carton, de fils et de bonbons, mais pour lui, c’était une pièce unique, pleine de promesses. « Et voilà ! Il ne reste plus qu’à la mettre en marche ! » s’écria-t-il, le cœur battant d’excitation.

Pour célébrer cette invention, Bobby décida d’inviter ses amis à venir voir sa machine. « C’est le moment idéal pour partager ma création ! » pensa-t-il. Jacques, Léa et Clara, ses fidèles camarades, arrivèrent peu après. Les rires et les cris joyeux des enfants remplissaient l’air alors que Bobby présentait son invention avec fierté.

« Regardez ça ! Une machine à bonbons ! » annonça-t-il en tirant sur le levier. Les yeux de ses amis s’écarquillèrent d’émerveillement.

« On y va, Bobby ! Appuie dessus ! », encouragea Jacques, l’impatience palpable dans sa voix. Bobby hocha la tête, le sourire aux lèvres. Mais, alors qu’il s’apprêtait à lancer la machine, un léger tremblement parcourut l’appareil. Avec un bruit de cliquetis, la machine s’emballa.

« Oh non ! » s’écria Bobby. Les bonbons jaillirent de toutes parts, traversant la pièce à une vitesse folle. Les rires résonnèrent comme une mélodie joyeuse, transformant la panique de Bobby en une scène comique. Ses amis, éclatant de rire, se précipitèrent à droite et à gauche pour attraper les friandises qui volaient dans les airs.

Dans cette joyeuse cacophonie, Bobby observa, émerveillé. Sa machine, bien que chaotique, avait réussi à créer un moment d’intense bonheur. Ici, au milieu des éclats de rire et des colorés bonbons, il réalisa que parfois, même les meilleures inventions peuvent se transformer en incroyables aventures.

Et alors qu’une nouvelle pluie de douceurs continuait de déferler autour de lui, Bobby savait au fond de son cœur que ce n’était que le début de ses créations étonnantes, et qu’il avait hâte de réaliser sa prochaine idée originale.

La Machine à Bonbons

Illustration de La Machine à Bonbons

Après des heures de bidouillage dans son atelier débordant d’outils, Bobby, le jeune bricoleur à la chevelure blonde ébouriffée, contemplait le chef-d’œuvre qu’il venait de créer : sa machine à bonbons ! Ses yeux bleus pétillaient d’excitation, tandis qu’il imaginait les douces friandises qu’elle allait produite.

« Mes amis vont adorer ! » s’écria-t-il en ajustant sa casquette, prêt à tester son invention. Il invita aussitôt ses camarades à venir l’aider à tester la machine. Les rires et les éclats de voix résonnèrent dans sa chambre, remplie de l’odeur sucrée et colorée des bonbons qu’il avait soigneusement placés dans le réservoir de la machine.

« Ça va être génial, Bobby ! » s’exclama Sarah, sa meilleure amie, les yeux brillants de curiosité.

Quand tous furent rassemblés, Bobby tira la manette de sa machine. Un bruit strident retentit et, dans un premier temps, rien ne se passa. Puis, comme pour compenser ce moment de suspense, la machine s’emballa soudainement en crachant des centaines de bonbons multicolores qui volèrent dans tous les sens !

« Oh non ! » s’écria Bobby, perdu entre l’émerveillement et une légère panique. Ses amis éclatèrent de rire alors que des ouragans de bonbons tourbillonnaient autour d’eux.

« Attrapez-les ! » s’écria Leo, son ami de classe, en se jetant sur un bonbon en forme d’étoile. Les rires fusèrent alors que chacun tentait de capter ces friandises espiègles, le désordre se transformant rapidement en une joyeuse compétition pour attraper le maximum de bonbons.

« C’est comme un festin sucré ! » s’exclama Sarah, le visage couvert de caramel. La chambre de Bobby brillait littéralement de couleurs vives, chaque recoin se transformant en un véritable tableau de gourmandise et de joie.

Bobby, tout en riant, réalisa que même si sa machine avait pris un peu trop de liberté, cela ne faisait qu’ajouter à l’amusement de l’instant. Le moment commençait à devenir mémorable. Ils créèrent même un petit jeu où ils devaient se lancer les bonbons fraîchement attrapés dans une petite bouteille, chacun essayant de battre le précédent.

Alors que la tempête de bonbons se calmait finalement, les rires demeuraient omniprésents, créant une ambiance de bonheur inégalée. Transformant une potentielle catastrophe en une fête sucrée, Bobby ne pouvait s’empêcher de sourire. Ce jour-là, il avait compris que l’amusement réside souvent dans l’inattendu et que l’amitié, tout comme les bonbons, se partage à la volée.

Dans un coin de sa tête, une nouvelle idée commença à germer pour sa prochaine invention. Mais ce qui occupait surtout ses pensées, c’était le bonheur émanant de cet instant partagé avec ses amis, si précieux et si éclatant. Encore une fois, l’inspiration lui frappait à la porte, alors que sa petite tête pleine de rêves planifiait de nouveaux exploits.

Le Radar à Blagues

Illustration du Radar à Blagues

Un matin ensoleillé, Bobby se tenait devant sa table de travail, une idée plein la tête. Après le succès retentissant de sa machine à bonbons, il avait décidé d’inventer quelque chose de tout aussi extraordinaire. « Et si, se dit-il, je créais un radar à blagues ? Une machine qui pourrait détecter les blagues dans les parages ! » Les yeux de Bobby brillaient d’excitation, et il se mit immédiatement à rassembler des outils, des fils et un vieux boîtier en plastique qu’il avait trouvé dans le garage.

Au fur et à mesure que les heures passaient, le petit laboratoire de Bobby se remplissait de bruits de cliquetis et de sifflements. Ses amis, Sam et Lila, étaient déjà là, suspendus aux lèvres de leur camarade, impatients de découvrir son invention. « Ça va être incroyable ! » s’exclama Lila, les bras croisés avec un sourire malicieux. « J’espère que cela pourra nous faire rire autant que la machine à bonbons nous a régalés ! » Le cœur battant de Bobby, il termina les derniers assemblages et invita ses amis à se rassembler autour du radar à blagues flambant neuf.

« Attention, attention ! » clama Bobby en appuyant sur le gros bouton vert qui ornait le sommet de son invention. À cet instant, un bruit de machine déréglée grommela dans l’air, et le radar se mit soudain à vibrer. « Que va-t-il se passer ? » demanda Sam avec une curiosité malicieuse. L’appareil clignota de mille feux avant de cracher une blague si incroyablement nulle que les trois enfants éclatèrent de rire. « Pourquoi les plongeurs plongent-ils toujours en arrière et jamais en avant ? Parce que sinon, ils tombent dans le bateau ! »

Bobby, les larmes aux yeux tellement il riait, se tourna vers ses amis : « Il fonctionne ! Regardez ! » Il activa de nouveau le radar, qui lança une nouvelle blague, encore plus ridicule. « Quel est le comble pour un électricien ? Ne pas être au courant ! » Sam et Lila, pliés en deux, ne pouvaient s’empêcher de rire à gorge déployée. Les blagues devenaient si absurdes que même les adultes, attirés par les éclats de rire, s’approchèrent curieusement.

Les parents de Bobby, au début perplexes, ne purent résister à l’hilarité ambiante. « C’est pas possible ! » trama son père entre deux éclats de rire. « Mais ces blagues sont si nulles qu’elles en deviennent géniales ! » Bobby observait avec une certaine fierté leur réaction. « Regardez, les adultes aussi, ils rient ! » s’exclama-t-il, ce qui leur valait un nouveau tour de blague.

La journée filait, remplie de rires et de blagues à n’en plus finir. Chacune d’elles était plus drôle que la précédente, et bientôt le jardin de Bobby se transforma en un véritable festival du rire, attirant d’autres enfants du quartier. Chacun voulait partager la magie du radar à blagues. Entre deux éclats de voix, Sammy lança : « Et si on faisait un concours de la blague la plus drôle ?! » L’idée emporta tout le monde dans un tumulte joyeux.

Les blagues continuaient d’entrer dans le radar, provoquant fou rires et éclats de joie. Chaque dialogue, chaque interaction semblait résonner comme une mélodie enchantée, unissant tout le monde dans une atmosphère pleine de chaleur et de bonheur. Lila, essuyant une larme au coin de son œil, se retourna vers Bobby avec un sourire rayonnant : « Tu as vraiment créé quelque chose de spécial, Bobby ! »

Et Bobby, jouant avec le bouton de son invention, savait que, tout comme avec sa machine à bonbons, il avait encore un tour à jouer qui allait piquer la curiosité de ses amis. « Mais attendez, il y a encore une autre blague en préparation ! » En haut de la rue, des rires résonnaient encore, annonçant que la prochaine aventure était déjà à l’horizon.

La Course des Inventions

Illustration de La Course des Inventions

Un matin ensoleillé, l’excitation était palpable dans le quartier de Bobby. Ce dernier, avec son sourire éclatant, annonçait d’une voix triomphante : « Mes chers amis, aujourd’hui, nous allons avoir une course de mes inventions ! » Les enfants, intrigués, se rassemblèrent autour de lui, les yeux pétillants de curiosité.

Bobby était fier de ses créations. Chacune d’elles avait une personnalité propre. Il arrivait avec sa machine à bonbons, son radar à blagues et bien d’autres surprises. « Je parie que ma machine à bonbons est la plus rapide ! » s’écria-t-il, l’enthousiasme débordant. Ses amis, enjoués, s’inscrivirent aussitôt pour participer, impatients de voir quelles merveilles se mettraient en mouvement.

Finalement, sous le grand chêne du parc, la ligne de départ fut tracée. Les enfants étaient en émoi, prêts à encourager leurs inventions respectives. « À vos marques, prêts ? Partez ! » cria Bobby, brandissant un drapeau fait de papiers colorés. À cet instant, les inventions s’élancèrent, mais rien ne se passa comme prévu.

La machine à bombons de Bobby se mit à tourner sur elle-même, vomissant des bonbons à tout va, ce qui provoqua des éclats de rire général. « Regardez ! Elle fait des pirouettes ! » s’exclama Lila, l’air hilare, tandis que les bonbons volaient comme des confettis. Pendant ce temps, le radar à blagues se mit à gronder, « Pourquoi les fantômes sont-ils de si mauvais menteurs ? Parce qu’on peut lire à travers eux ! » Ce qui engloutit le public sous un nouveau flot d’éclats de rires.

Les inventions, au lieu de rivaliser pour la première place, s’amusaient les unes les autres dans un ballet hilarant. Certaines s’arrêtèrent subitement, comme paralysées, tandis que d’autres se mettaient à danser, leurs mouvements imprévisibles assurant un spectacle mémorable. « Whew ! Qui aurait cru que la course se transformerait en fête ? » déclara Marco, riant aux larmes.

Les enfants oubliaient la compétition, et tous s’unirent dans une joyeuse cacophonie de rires, applaudissements et encouragements. Bobby, hoquetant de rire, se tenait à l’écart, le cœur débordant de joie, observant ses amis s’amuser. « C’est peut-être cela, l’esprit de l’invention ! » pensa-t-il, conscient que le véritable amusement régnait ce jour-là.

La lumière du soleil se couchait doucement à l’horizon, teintant le ciel de nuances dorées, alors que les rires et les cris de joie résonnaient dans l’air. Tout en continuant à regarder ses inventions revendiquer le titre de reine de la fête, Bobby savait qu’ils allaient transformer cette journée magique en un souvenir inoubliable. Soudain, une pensée lui traversa l’esprit : que pourrait-il inventer d’autre pour amuser encore davantage ses amis ?

Bobby, le Roi du Rire

Bobby, le Roi du Rire

La cloche du village tintait joyeusement, annonçant la fin de cette journée extraordinaire. Les rires résonnaient encore dans l’air, rappelant à tous les enfants les merveilleuses inventions de Bobby, le jeune bricoleur au cœur plein de plaisir. En se dirigeant vers le parc, où ses amis s’étaient donnés rendez-vous, Bobby se sentait envahi par une sensation de fierté et de bonheur. Il avait non seulement créé des machines amusantes, mais avait aussi réussi à semer des éclats de rires au sein de sa joyeuse bande.

Lorsqu’il arriva, une mer de visages souriants l’accueillit, tous impatients de le féliciter. Clara, la petite fille à la tresse rousse, s’approcha avec des yeux pétillants d’excitation. « Bobby, tu es vraiment le Roi du Rire aujourd’hui ! Tes inventions nous ont fait passer un moment inoubliable ! » s’écria-t-elle, en sautillant sur place. Les autres enfants, en accord avec Clara, applaudirent comme si Bobby venait de remporter un grand prix.

Dans un petit coin du parc, quelque chose de surprenant se préparait. Ses amis avaient décidé d’organiser une cérémonie pour le couronner. Des papiers colorés et des bonbons avaient été rassemblés, se transformant en une magnifique couronne qui scintillait sous le soleil du soir. L’enthousiasme était palpable, et un doux frisson d’anticipation parcourut Bobby. « Est-ce que vous êtes prêts ? » demanda Max, un des enfants, tout en ajustant la couronne sur les cheveux ébouriffés de Bobby.

« Prêts comme jamais ! » répondirent en chœur les enfants. Bobby, le visage éclairé par un sourire radieux, sentit son cœur battre plus fort. Alors qu’on plaçait la couronne sur sa tête, il comprit que le véritable succès de ses inventions ne résidait pas dans leur ingéniosité, mais dans la joie qu’elles avaient apportée à ses amis. « Je suis le Roi du Rire, et c’est grâce à vous tous ! » déclara-t-il avec une voix pleine d’émotion.

Les enfants levèrent les bras vers le ciel en criant de joie, leur rire vibrant comme une mélodie entraînante. Bobby, entouré de ses amis, réalisa qu’il avait trouvé sa véritable vocation : inventer pour faire sourire. Sa prochaine invention murmurait déjà à son esprit, se demandant quelle nouvelle surprise il pourrait offrir au monde.

Alors que la lumière du soleil se couchait et que les étoiles commençaient à scintiller, il se mit à rêver à de futurs projets pleins de rires. Si chaque invention pouvait apporter un peu de joie, alors il était décidé : il continuerait à créer. « Préparez-vous, mes amis ! Demain, je vais inventer… » s’exclama-t-il, suscitant l’excitation parmi les enfants qui, déjà, imaginaient les possibles merveilles à venir.

Et alors que le soir enveloppait le parc d’une douce lumière, innocente et pleine de promesses, Bobby savait que cette aventure n’était que le début d’un merveilleux chemin vers de nouvelles découvertes, là où chaque éclat de rire serait une étoile dans le ciel de son imagination.

Bobby | bricoleur | inventions | histoire drôle | enfants
Écrit par Sébastien LN. de unpoeme.fr

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