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Les mésaventures d’un zèbre rayé

Les mésaventures d'un zèbre rayé

Dans l'embrasement du crépuscule africain,
Où le soleil décline en fresques écarlates,
Commence l'épopée, en vers et sans éclat,
D'un zèbre, toile vivante aux rayures d'ébène.

Unique en son genre, parmi l'herbe et le grain,
Il foulait la savane, pas légers, âme sereine,
Cherchant à comprendre le monde, vaste platine,
Au gré de péripéties, d'aventures, de drames.

Strophe I

Il est celui qui, par ses rayures distinctes,
Defie les lois de la jungle, éclatant de couleurs.
Un être hybride, en ombre et lumière, tantôt mince,
Dans l'étendue d'Afrique, il cherche son ailleur.

Strophe II

Oublié les appartenances, les lignes séparatrices,
Notre zèbre rayé, dans ses quêtes, illustre,
La beauté de l'union des différences, métaphores,
Pour un monde où la diversité serait maîtresse.

Strophe III

Au travers de savanes, de déserts et de rivières,
Il rencontra des âmes, échos de ses propres lumières,
Des lions, des girafes, et d'humbles termites,
Tous unis par le désir d'exister, simplement, sans limite.

Strophe IV

Cependant, dans son errance, un défi se présente,
Un mirage d'eau claire où se reflète l'ardente,
Quête de soi, le zèbre se découvre, épris,
Dans ce miroir, la réponse à ses pourquoi, ses cris.

Strophe V

Mais la nuit tombe, voile sombre sur les doutes,
Et il apprend que même les étoiles en déroute,
Peuvent trouver leur place dans le chaos, l'obscur,
Illuminant la voie, perçant le futur.

Strophe VI

Alors viennent les pluies, les orages, les épreuves,
Notre héros, sans faillir, face aux vents, s'élève,
Comprend que les tempêtes servent à nous apprendre,
Que l'après pluie, toujours, laisse un monde plus tendre.

Strophe VII

Face au regard des autres, cet océan d'inconnu,
Il aprend à danser, sur les vagues, nu,
A se délester du poids des jugements,
Pour nager, libre, en ses propres courants.

Strophe VIII

Et c'est là, dans l'écrin d'une aube nouvelle,
Qu'il s'éveille, l'esprit clair, l'âme rebelle,
Compris qu'il est la somme de ses voyages,
Du plus doux murmure au plus violent orage.

Strophe IX

Ainsi s'achève notre conte, mais pas l'histoire,
De celui qui, par ses rayures, a su percevoir,
Que chaque zèbre, chaque être, est un récit,
Une mosaïque vivante, un infini.

Dans le reflet du monde, le zèbre rayé a trouvé,
Non pas une fin, mais le début d'une éternité,
Ou chaque instant est un vers, chaque épreuve une rime,
Dans le grand poème de la vie, intime.

Conclusion

Et voilà que dans l’immensité du firmament,
S’éteint notre récit, dans un souffle, doucement,
Laissez ces mots résonner, longtemps, encore un peu,
Dans le coeur des hommes, l'écho précieux.

Que cette histoire vous inspire, vous élève,
À chercher votre essentiel, sans trêve,
Car comme notre zèbre aux mille rayures,
Nous sommes tissés de mille aventures.

Chacun de nos pas écrit le monde de demain,
Dans le grand livre de la vie, nous sommes les gardiens,
Soyez ces poètes, qui, de leur encre, dessinent
Un avenir où l'amour, la paix, s'acheminent.

Dans ce grand voyage qu'est la vie, parfois complexe,
N'oubliez jamais que chaque seconde, chaque geste,
Contribue à la beauté de ce vaste tableau,
Où chaque zèbre rayé trouve sa place, son chapitre, son rôle.

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