La fête des cascades, puissance et beauté
Dans l’antre des montagnes où le ciel caresse les cimes,
Là où le vent murmure les secrets des temps anciens,
S’éveille doucement l’aube d’une journée sans rime,
La fête des cascades, dans son éclat se dessine.
Les eaux, dans un ballet majestueux et infini,
Chantent l’hymne de la terre, vibrante et divine.
Dans leur course, elles dessinent des rêves au creux des lits,
D'un monde oublié, aux couleurs écarlates et opalines.
Au gré des flots, les âmes vagabondes se lient
Aux murmures des roches, échos de mémoires séculaires.
Chaque cascade, un univers, où le passé défile,
Portant en son sein les espoirs, les désespoirs terrestres.
Puis, sous un soleil ardent, bouquet d'or pur et ardent,
La fête des cascades s'embrase, éclat sans pareil.
Chaque goutte, miroir du monde, réfracte et s'étend,
Dans un arc-en-ciel de vie, de souffles nonpareils.
Mais au-delà de la puissance, au-delà de la beauté,
Se cachent les murmures doux de la nature, voix éternelle.
Elle parle de résilience, de la force trouvée dans l'unité,
D’un cycle sans fin, où chaque fin annonce une nouvelle étampe.
Dans cet écrin verdoyant, glossaire vivant, s’enchevêtrent,
Les liens invisibles tissant la trame de notre monde.
La fête des cascades, tableau vivant, nous interpelle,
Sur la fragilité de l’instant, et la richesse profonde.
Ainsi, quand tombe le crépuscule, et que l’horizon s’embrase,
Quand les eaux se parent d’argent, sous la lune qui danse,
Se révèle une philosophie, aussi claire que l’eau de face,
De l’impermanence de tout, et de la beauté de l’existence.
Laissons donc la fête des cascades, dans son spectacle, nous guider,
À travers les méandres de nos vies, éphémères et précieuses.
Car en son cœur bat le rythme de l’univers, éternel allié,
Qui enseigne l’amour de la vie, dans son essence merveilleuse.
La fête des cascades, miroir des âmes, chant profond,
Nous invite à écouter, à voir au-delà des apparences.
À embrasser la puissance, la beauté, le son,
Et à méditer sur notre passage, tissé de silence et de cadence.
Que cette fête soit un phare, illuminant nos chemins,
Nous rappelant la magie du monde, dans chaque instant.
Car la vie, dans sa danse, offre des refrains,
Qui parlent de joie, d’amour, et d’un éternel printemps.
Ainsi se clôt la fête des cascades, puissance et beauté,
Mais son écho résonne, vibrant, dans le cœur de la nuit.
Nous laissant avec des étoiles plein les yeux, l’âme enchantée,
Par la richesse de la vie, et le spectacle qui s’enfuit.
Puisse-t-on, au-delà des jours, des mois, des années écoulées,
Garder en mémoire cette fête, ce message, cette lumière.
Et trouver, dans le murmure des cascades, la clé,
Pour naviguer la vie, avec grâce et manière.
Dans cet hymne au monde, à sa force et majesté,
S’entrelacent les fils d’un amour tissé par la nature.
La fête des cascades, récit de puissance et beauté,
Nous offre une leçon de vie, d’une poésie pure.
