Plume de poète
Plume de poète
Bienvenue sur mon blog, je suis Nathalie Cali, dans les recoins tranquilles de mon quotidien, j'explore l'art de tisser des mots en poèmes et histoires pour enfants, chaque texte que je partage sur unpoeme.fr est un fragment de mon imagination, conçu pour éveiller la curiosité et l'enthousiasme des jeunes esprits, qand je n'écris pas, je me plonge dans le monde des livres, toujours à la recherche d'inspiration. Rejoignez-moi dans cette aventure littéraire, où chaque histoire est une fenêtre ouverte sur un univers de rêves et de découvertes.

La mélancolie des brumes matinales

La mélancolie des brumes matinales

Dans l’écrin naissant d’une aurore fragile,
S'épanouit la mélancolie des brumes matinales.
Un voile diaphane sur le monde immobile,
Des larmes du ciel, tissent les récits épistolaires.

Au cœur de cette brume où danse l’aube pâle,
Se dissimule l'essence pure de nos âmes jumelles.
Dans ces instants suspendus, la nature exhale
Les secrets murmures, sous un ciel sans étoiles mais fénel.


Sous le regard du jour naissant,
Les arbres, tels des sentinelles d’antan,
Déploient leurs branches en guirlandes de verdure.
Ils veillent, imperturbables, sur la plaine d'azur.

Au gré des souffles doux,
Les pétales délicats s’éveillent, un à un,
Au baiser éphémère d’un soleil rougissant.
Un ballet silencieux, sous le regard amusé du temps.


La mélancolie, cette compagne aux mille visages,
Par court et par fil, tisse la toile de nos existences.
Entre joie et tristesse, elle navigue, sage,
Nous enseigne l’équilibre avec une patience immense.

Elle prend parfois les traits d'une pluie fine,
Qui caresse les feuilles, dans un murmure apaisant.
Ou bien ceux d’un horizon que le regard devine,
Ligne floue où ciel et terre se mêlent, fascinant.


Dans le palais des cœurs solitaires,
La mélancolie s’invite, gracieuse convive.
Elle sème des perles d'amour, éphémères,
Dans le jardin secret des âmes sensitives.

Son passage laisse une trace indélébile,
Un sillage de réflexions profondes et subtiles.
Sur le chemin de notre quête intime,
Elle guide nos pas, lampe de poche à l’infini.


Mais voyez comme l’aurore s’étire et s’éveille,
Déployant ses ailes teintées d’or et de vermeil.
La mélancolie s’efface, non sans partager au passage,
La beauté cachée dans le pli d'un nuage.

Elle nous laisse l'empreinte d'une douce étreinte,
Un souvenir tissé d’or et de pourpre à la lisière du rêve.
Dans le silence, une promesse se joint,
Que chaque aube apporte son lot de trêves.


Ainsi s’en vont les brumes matinales,
Emportant avec elles nos doutes, nos peurs.
Dans leur sillage, des pensées originales,
Et la lumière, révélatrice de notre valeur intérieure.

Le cœur léger et l'esprit embrasé,
Nous nous élançons vers de nouvelles contrées.
Armés de poésie, de rêves, de pensées ensoleillées,
Nous œuvrons à peindre notre destinée enluminée.


Au terme de ce voyage, au sein de l'éphémère,
Nous découvrons que, dans l'infini des heures,
La langue est un pont jeté entre les êtres,
Un havre où s'unissent cœurs et lueurs.

Cette odyssée, sous la tutelle des aubes naissantes,
Nous enseigne la valeur des instants, la richesse du moment.
Tantôt claire, tantôt obscure, la vie, dans ses faucilles dansantes,
Grave dans l'âme, l'empreinte du temps.


Ainsi, par la grâce d'une plume voyageuse,
Le monde se dévoile, en ratures et en vers,
Dans le silence de la brume matinale, rêveuse,
Se tisse un poème, pont entre les univers.

Laissons les mots s'envoler, libres et sauvages,
Dans l'insaisissable beauté de l'instant,
Car dans le cœur de la mélancolie, se trouve un message :
La vie est une toile, à peindre avec les couleurs du vent.


Dans la mélancolie des brumes matinales,
S’ouvre un chemin d’eau et de lumière,
Invitant chacun à traverser le voile,
Pour découvrir, en son cœur, un univers entier.

Un tableau vivant, où chaque instant se colore
De nuances subtiles, en écho à nos âmes exploratrices.
Entre les lignes de nos destins, se dessine alors
La promesse de jours emplis de merveilles et de délices.


Et quand vient la nuit, enveloppant le monde dans son étreinte,
Rappelez-vous les murmures de l’aube, doux et persévérants.
Dans la danse éternelle de l’ombre et de la lumière, se feint
Un espoir tenace, porté par le souffle du temps.


Portons dans nos cœurs, cette mélancolie éclatante,
Comme un trésor, une lumière dans la brume.
Elle guide nos pas, sur la voie scintillante,
Vers cette vérité que chaque étoile allume.

Dans l’infini ballet de la vie, où tout se transforme,
La mélancolie des brumes matinales, tel un pont de lumière,
Nous unit, dans un murmure doux et énorme,
Au sublime mystère de la terre entière.

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