La quête du trésor perdu
Dans l'ombre d'une lune envoûtante et claire,
Où les rêves s'entrelacent aux fils de lumière,
Se dessine le début d'une quête insensée,
Vers la recherche d'un trésor, belle pensée éthérée.
Au cœur de la forêt dense et mystérieuse,
Où chaque arbre murmure une histoire précieuse,
Le voyageur avance, guidé par un désir profond,
De découvrir ce qui reste caché au-delà de l'horizon.
Les étoiles dans le ciel, comme des yeux qui veillent,
Sur le chemin de ceux qui cherchent des merveilles,
Elles illuminent la nuit de leurs feux scintillants,
Traces éphémères de rêves ardents.
Chaque pas est un vers dans le poème de la vie,
Où les obstacles se métamorphosent en mélodie,
Les doutes et les peurs, comme des ombres fugaces,
Se dissolvent sous le regard de l'aube naissante.
La rosée matinale embrasse les pétales éveillés,
Dans ce jardin de l'existence, où tout est relié,
Chaque fleur, chaque feuille, conte sa propre histoire,
Tissant ensemble le tissu d'un monde extraordinaire.
Et là, au milieu de ce tableau vivant et vibrant,
Se révèle le trésor, non pas d'or ou d'argent flamboyant,
Mais d'une vérité plus douce, plus fondamentale et sage,
Le trésor de se connaître, au-delà de toute image.
La quête du voyageur n'était pas vaine,
Car il a découvert les couleurs de son âme sereine,
Les richesses enfouies au plus profond de l'être,
Sont les plus précieuses à reconnaître et à connaître.
Ainsi, ce voyage au cœur de l'inconnu,
Est une métaphore de la vie, toujours en devenir, toujours tissu,
Où chaque expérience, chaque rencontre, chaque choix,
Forge l'essence même de notre voie.
La quête du trésor perdu n'est pas juste une légende,
C'est le périple intérieur que chacun entreprend,
À la recherche de cette lumière intérieure qui guide,
Dans le labyrinthe infini de la vie qui nous abrite.
Et quand le crépuscule viendra clore la journée,
Que le silence enveloppera la terre apaisée,
Le voyageur, enrichi de son trésor intime,
Saura que le plus grand voyage, c'est celui qui nous anime.
Pour conclure, cette quête n'est pas une fin en soi,
Mais un chemin de découverte, de joie et parfois de foi,
Dans la capacité infinie de l'humain à s'élever,
À travers les mots, les gestes, et les pensées révélés.
Le trésor perdu, finalement retrouvé,
N'était pas sous les pieds, mais dans le cœur éclairé,
Une invitation à explorer, à aimer et à créer,
Pour que chaque jour soit une oeuvre d'art à réinventer.
Dans la quête du trésor perdu, il y a une vérité implicite,
Que la richesse la plus grande réside dans la poétique de l'existence,
Où chaque moment, aussi banal soit-il, porte en lui une magie,
Un fragment du mystère insondable de la vie.
Alors, que cette poésie soit une fenêtre ouverte,
Sur l'infinie beauté du monde, délicate et offerte,
Un rappel que, dans les méandres de nos vies trépidantes,
Se cachent des trésors d'amour, éternels et flamboyants.