Au commencement était le Verbe, doux et tendre,
Dans l’éther pur, un murmure venu s’entendre,
S’élevant au-dessus des vagues de la mer,
C’était l’amour, dans son éclat, premier.
Dans le calme du soir, quand le monde s’endort,
Le ciel s’habille de ses plus beaux trésors,
Les étoiles, en choeur, s’éveillent et conversent,
Sur le thème éternel de l’amour qui berce.
Laissez-moi vous conter, à travers mes vers,
L’histoire d’un sentiment universel et divers,
Qui traverse le temps, l’espace et les âmes,
Faisant fi des frontières, des lois, et des drames.
Strophe I
Dans les jardins secrets où fleurissent les rêves,
L’amour se nourrit des espoirs, doux et sans trêve.
Au creux d’un regard, dans l’ombre d’un sourire,
Se cache l’infini, que même le temps admire.
Strophe II
Sur les chemins de vie, pavés d’intentions,
L’amour est le phare, guidant les passions.
Dans le souffle du vent, dans la rosée du matin,
Il est la promesse d’un lendemain serein.
Strophe III
Strophe IV
Dans le creuset des âmes, l’amour se forge,
Tantôt douce brise, tantôt ardente forge.
Il est ce feu qui, en secret, illumine,
Rendant chaque histoire unique, et chaque destin, intime.
Strophe V
Et si parfois l’amour semble s’étioler,
Dans le jardin de la vie, il sait se renouveler.
Il est cette eau vive, cette lumière indomptable,
Qui, de l’obscurité, tire couleur et fable.
Clôture
Ainsi va l’amour, éternel pèlerin,
Traversant les époques, tissant des liens fins.
Il est le souffle de vie, l’espoir qui persiste,
La muse des poètes, l’artiste qui résiste.
Que ce poème soit un phare, un guide lumineux,
Pour ceux qui cherchent l’amour, dans les cieux ou les lieux.
Car dans le grand livre de l’existence humaine,
L’amour est la plus belle des poèmes, la veinure souveraine.
Apprenons à écouter ses murmures délicats,
Et laisser nos cœurs s’ouvrir, sans détour, ni faux-pas.
Car c’est dans le partage, dans l’union des âmes,
Que l’amour trouve écho, donnant à la vie toute sa flamme.