Dans l’immensité d’un ciel aux teintes pastel,
S’élèvent les murmures des vents de l’affection,
Un souffle de tendresse, doux et éternel,
Qui parcourt le monde, sans aucune restriction.
Au commencement, un frisson traverse l’air,
Un élan d’amour pur, sans frontières ni barrières,
Comme les premiers mots d’une ode à la Terre,
Pleins d’espoir, dessinant dans les cœurs des frontières.
Strophe I
Sous un dais d’étoiles, l’affection prend racine,
Dans les âmes éprises d’une douce mélodie,
Le feuillage des bois serre la brume aubeline,
Telle une étreinte qui de la nocturne échappée se lie.
Les fleurs se penchent, écoutant le vent conter,
L’histoire d’amour intemporelle et universelle,
Un récit sans cesse renouvelé,
Où chaque être peut se voir belle étoile en sa prunelle.
Strophe II
Les rivières chantent sur des rythmes enlacés,
Leur cours devient éloge à l’affection infinie,
Elles murmurent à la mer des secrets entrelacés,
D’amour, de paix, dans une harmonie infinie.
Les montagnes veillent, robustes et sereines,
Sur les vallées où l’affection en fleurs éclot,
Dans le silence, elles rappellent que la peine,
S’efface où l’amour règne, fort, sans un défaut.
Strophe III
Le vent souffle sur les cités, éveillant les consciences,
Apportant un message de fraternité sincère,
Dans les rues, il danse, une infatigable cadence,
Un appel à l’union, que rien ne peut distraire.
Les cœurs s’ouvrent, dépassant l’éphémère,
L’affection lie les êtres dans un éclat vermeil,
Dans chaque regard, de la bonté éclaire,
Un monde auparavant endormi se réveille.
Fin
Ainsi voyagent les vents de l’affection,
Sans jamais faiblir, à travers chaque saison,
Portant un espoir, une pure émotion,
Vers l’horizon d’une humanité en fusion.
Les vers s’entrelacent, tissant un appel à l’unité,
Au-delà des différences, dans la richesse de notre humanité,
Laissons-nous emporter par les vents de l’affection, vastes et éthérés,
Pour que s’illumine enfin, dans un geste d’amour, notre éternité.