Quête inlassable d’un signe, le ‘Q’,
Quelque peu mystique, souvent énigmatique,
Questionnant sans cesse les esprits poétiques,
Qui, dans leur folie créative, cherchent sans équivoque.
Querellé pour sa queue en boucle, si unique,
Quasi absente dans l’océan des mots communs,
Qualifie le rare, l’exquis et l’origine,
Que nous poursuivons, dans un désir presque mystique.
Quand la lune s’écrit, oubliant le romanesque ‘Q’,
Quelle est cette nuit sans question, ni quête ?
Quête d’amour, de pouvoir, de savoir absolu,
Quasiment invisible, mais vital à cet univers.
Quasi silencieux, il évoque les terres lointaines –
Quatar, Québec, tranquilles et mystérieuses,
Quelle force attire vers ces destinations si sereines
Quand le ‘Q’ pionnier guide les explorateurs audacieux ?
Qui pourrait imaginer la poésie sans son essence ?
Quel poème émerveillerait, séduirait sans sa présence ?
Quintessence de l’unique, charmeur dans son silence,
Qui, sans crier gare, capture l’essence de l’existence.
Quand il se lie à u, quête d’union, évoque qualité,
Quasi indispensable à la langue française, une fierté,
Quitte à être oublié, il revient, élégance renouvelée,
Quenouilles de mots fleuris, gerbes d’idées enlacées.
Quant aux souverains, qualifiant de leurs titres,
Quand Quasimodo sonne, résonne notre être,
Quoique étrange, ses cloches nous invitent
À quérir ce qui se cache, dans l’écho de nos lettres.
Quel régal, lorsqu’en cuisine, le quinoa se présente,
Quiche lorraine dorée, quenelles délicatement posées,
Questions culinaires, où le ‘Q’ s’aventure, s’impose,
Quérant une place dans les mets les plus grands.
Quotidiennement, le ‘Q’ dans ses mystères persiste,
Qualifiant ce qu’il touche, d’un symbolisme qui insiste,
Qu’il soit dans l’intime ou dans l’élite,
Quête perpétuelle, d’un caractère presque insaisissable.
Quand vient la fin, quelle leçon tirer, quelle morale ?
Que le ‘Q’ dans son silence, ses quiproquos, sa morale,
Qu’importe sa fréquence, sa forme, ou son étale,
Qu’il représente le pouvoir de l’unique, dans notre vocabulaire.
Quand nous cherchons la beauté, dans l’écrit, dans le dire,
Quelquefois le mystère, en un seul signe, peut nous unir.
Quant à notre quête, celle d’ensemencer l’avenir,
Qu’elle commence par apprécier le ‘Q’, dans son désir d’infini.
Quête du ‘Q’, voyage vers l’essence de la lettre,
Quand bien même elle semble fugace, elle demeure entière.
Qu’elle soit le phare, dans notre quête de savoir-faire,
Qui guide nos pensées, nos paroles, dans leur être.
Qu’en est-il alors de ce périple, cette exploration ?
Qu’elle nous enseigne la patience, la réflexion,
Qu’à travers une lettre, nous pouvons questionner,
La quintessence même de notre humanité.
Quelle que soit la route, le ‘Q’ reste notre compas,
Quasi invisible, mais influent, il dicte nos pas,
Quand résonne l’appel de l’inconnu, de l’au-delà,
Qu’il soit le symbole de notre quête, de nos combats.
Qu’ainsi se termine cette ode à la lettre ‘Q’,
Qui, je l’espère, a su éveiller en vous, un quelque,
Une question, un désir de quêter l’unique, le reclus,
Qu’en chaque mot commence une histoire, un début.
Qu’il soit le gardien de nos quêtes les plus profondes,
Qu’il rappelle que même dans l’infini des secondes,
Qu’une lettre porte en elle, le monde,
Qu’elle soit célébrée, aimée, et jamais confondue.
