Xylophone du ‘X’, l’écho d’une quête insondable,
Xénophiles de mots, nous voilà à la table
Xylographiant le mystère, la lettre et sa fable,
Xérès enivrant, l’inspiration nous rend capables.
Xérès de l’esprit, aux saveurs indicibles,
Xérographiée dans l’âme, une trace indélébile,
Xénophile passion, l’X dans sa tour d’ivoire,
Xylophonant les cœurs, un langage à croire.
Ximénies dessinées dans l’azur infini,
Xénolithes rares dans le socle de la vie,
Xérophytes survivants dans les déserts de l’ennui,
Xiphoïdes brillant sous le soleil de midi.
Xénagogue guide, nous à travers l’inconnu,
Xysts sous la lune, où les pensées s’entrevuent,
Xénium d’idées, un présent des anciens dieux,
Xylophones du ‘X’, des accords merveilleux.
Xylophonant à l’infini, chaque coup un univers,
Xénophobie contre l’inconnu s’inverse,
Xérus dans le désert, forgeant sa propre terre,
Xylophages, nourris de bois, en mystères persévèrent.
Xanthique lumière, illuminant l’opaque,
Xénops, petit oiseau, dans l’obscur trouve son lac,
Xérès nostalgique, boisson d’anciennes époques,
Xylophone du ‘X’, musique qui évoque.
Xérus courageux, défiant chaque tempête,
Xylème de la vie, transportant la sagesse secrète,
Xylophiles amoureux de chaque veine du bois,
Xylographies, gravures du temps, parfois.
Xénotime minéral, dans les profondeurs caché,
Xérophtalmie des cœurs, quand la vision s’est séchée,
Xiphias gladiateur des mers, dans l’océan il règne,
Xylographiant sur l’eau, son royaume il enseigne.
Xanthie flamboyante, au crépuscule se révèle,
Xénolithe étranger, dans le giron terrestre étincelle,
Xiphoïde, l’épée qui tranche la nuit,
Xylophonant la bravoure, dans l’obscurité luit.
Xénophiles des lettres, explorons sans cesse,
Xylographions l’inconnu, dans sa pure finesse,
Xérès en nos coupes, buvons à la connaissance,
Xylophone du ‘X’, ode à l’essence.
Xérès en nos cœurs, l’inspiration coule à flots,
Xénophile de ce monde, de ses mystères, de ses hauts,
Xylophone du ‘X’, tu nous guides dans la danse,
Xylotomie de l’âme, ta musique avance.
Xénagogue de pensées, tu ouvres la porte,
Xénocryste en nos âmes, éclat que rien n’emporte,
Xylophone joue encore, dans l’écho de la nuit,
Xylophonons ensemble, jusqu’à ce que l’aube luit.
Xénium d’espoir, au seuil de l’aurore nouvelle,
Xylophones chantons, jusqu’à ce que l’amour appelle,
Xyste de nos rêves, jardin sous étoiles tissé,
Xylophone du ‘X’, en nous, tu as laissé.
Xylophonant dans l’éternité, ta mélodie s’envole,
Xénophile de l’âme, dans le cosmos elle décolle,
Xylographiant au-delà, un message à percevoir,
Xylophone du ‘X’, ton écho, notre espoir.
Xylophone du ‘X’, symbole d’une quête infinie,
Xénophiles en soif de comprendre la vie,
Xylographiant dans le temps, un poème lettre X,
Xérophtalmie des esprits, en l’eau des mots, se remix.
Xylophone du ‘X’, muse de l’abstrait,
Xénium pour l’esprit, ton mystère parfait,
Xystes de nos cœurs, dans l’amour cultivés,
Xylophone du ‘X’, par ta musique, élevés.
