Plume de poète
Plume de poète
Bienvenue sur mon blog, je suis Nathalie Cali, dans les recoins tranquilles de mon quotidien, j'explore l'art de tisser des mots en poèmes et histoires pour enfants, chaque texte que je partage sur unpoeme.fr est un fragment de mon imagination, conçu pour éveiller la curiosité et l'enthousiasme des jeunes esprits, qand je n'écris pas, je me plonge dans le monde des livres, toujours à la recherche d'inspiration. Rejoignez-moi dans cette aventure littéraire, où chaque histoire est une fenêtre ouverte sur un univers de rêves et de découvertes.

La fête des arbustes, nature en miniature

La fête des arbustes, nature en miniature


Dans l'antre doux de l’aurore où le ciel caresse la terre,
Un murmure s'élève, vibrant, d’un monde en miniature.
C’est là, sous l’égide d’un soleil timide,
Que naît la convocation silencieuse des arbustes en pâture.


Le préambule de cette cérémonie est doux:

Des racines entrelacées en dessous,
Une épopée silencieuse s’organise, sans un flot,
D’un amour fourmillant, tissant le berceau
De la terre nourricière, où chaque grain est un bijou.

Dans un ballet de feuilles et de brises,
Les arbustes, gardiens de ces mystères,
Dévoilent leurs cœurs, pulsation de la terre,
Dans un essaim de couleurs, leur langage se précise.


Cadence subtile d'une symphonie en herbe,
Les branches s'effleurent, dansent et célèbrent
Le cycle éternel, renaissance et crépuscule,
Où chaque feuille murmure l’éphémère particule.

Et là, parmi l’océan verdoyant, un tableau s'immisce
D’une mouvance perpétuelle, où chaque détail fleurit,
Dans l’œil du poète, la nature s’écrit,
Un poème sans fin, où chaque strophe entrelace.


Sous le voile d’ombre et de lumière, les arbustes,
Semblent susurrer aux étoiles perdues, des secrets anciens,
Des légendes nées au cœur du monde, dans un souffle divin,
Où chaque racine est un mot, chaque feuille, un vers justes.

L'harmonie se tisse dans ce sanctuaire végétal,
Où l’air semble chargé de mémoires et de chants,
Un lien indéfectible, une trame de sentiments,
Un manuscrit vivant, témoignage primal.


À l’orée du crépuscule, lorsque le jour s’enfuit,
Les arbustes se parent d’or et de mystère,
Dans ce moment fragile, une prière éphémère,
Un souhait pour demain, où la vie se poursuit.

Car dans la fête des arbustes, réside une promesse :
Celle d’un monde où chaque petit être a sa place,
Un écosystème riche, une toile d’espaces,
Où la diversité s’entrelace, et la beauté sans cesse.


Mais qu’en est-il de nous, spectateurs de cette danse ?
Sommes-nous les gardiens de cette harmonie, ou son déclin ?
À travers le murmure des feuilles, un chemin
S’offre à nous : celui de l’écoute, de la bienveillance.

La fête des arbustes, bien plus qu’une célébration,
Est un miroir tendu vers notre propre nature,
Un rappel que dans le plus petit contour,
Se trouve l’essence de la vie, son ultime leçon.


En conclusion, laissons-nous inspirer par cette épopée,
Par la sagesse des arbustes, leur résilience sans égal.
Notre existence entrelacée à ce monde, si vital,
Peut être le début d’une ode à la beauté, à l’humanité.

Que ce poème soit un pont entre les cœurs et la sylve,
Un hymne à la vie, dans toutes ses dimensions,
À la diversité de notre monde, et ses millions
De visages, d’histoires, où chaque mot est une enclume.


La fête des arbustes, nature en miniature,
Un souffle, une trace, dans l’infini de l’azur,
Invite chaque âme à célébrer, à chérir,
La beauté de l’instant, l’œuvre du devenir.

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