Plume de poète
Plume de poète
Bienvenue sur mon blog, je suis Nathalie Cali, dans les recoins tranquilles de mon quotidien, j'explore l'art de tisser des mots en poèmes et histoires pour enfants, chaque texte que je partage sur unpoeme.fr est un fragment de mon imagination, conçu pour éveiller la curiosité et l'enthousiasme des jeunes esprits, qand je n'écris pas, je me plonge dans le monde des livres, toujours à la recherche d'inspiration. Rejoignez-moi dans cette aventure littéraire, où chaque histoire est une fenêtre ouverte sur un univers de rêves et de découvertes.

Le combat pour la dignité

Dans les trames d’un monde aux mille visages,
Se tisse une quête, éternelle et sage,
Un combat silencieux que chacun mène,
Pour l’honneur, pour la dignité humaine.

Au cœur de l’aube où l’espoir se réveille,
L’homme s’élance vers le soleil,
Défiant les temps, les contrées moroses,
S’accrochant aux rêves comme à d’ardentes roses.

Les rues pavées de nos singulières vies
S’échoient dans l’immensité de la poésie,
Où chaque pas est un vers qui bat,
Grâce à l’éclat que l’on ne voit pas.

La dignité, cet astre lointain,
Brille sur le chemin de nos destins,
Elle imprègne l’âme de ses feux sacrés,
Affrontant l’orage, l’éther, les marées.

Notre bataille n’est pas de celles qui s’arment,
Elle se joue dans le calme, loin des alarmes,
Dans le geste tendre, la parole offerte,
Dans tout ce qui de nous rend l’existence experte.

Les saisons cycliques, en leurs manteaux variés,
Ne dérogent jamais à ce principe éthéré,
Elles nous apprennent que tout se transforme,
Que chaque fin n’est qu’un nouveau prélude qui germe.

Viennent ensuite ces amours qui font résonner
Le combat pour une dignité sans se damner,
Dans un baiser, l’aube d’une union,
Dans un regard, l’éternité d’un frisson.

Les montagnes s’érigent comme des remparts,
Face aux tempêtes des regards épars,
Elles se dressent pour nous enseigner
Que chaque pierre est un acte, une pensée.

Dans les profondeurs bleutées des océans,
Se cachent les secrets des cœurs battants,
Ceux qui plongent y découvrent leur reflet,
Le lustre d’une dignité qui jamais ne s’arrête.

La feuille qui frémit sous le souffle du vent
Danse sa vie, légère et pourtant puissante devant
Le souci du jour, la paix de la nuit,
Elle nous murmure qu’il est noble ce que l’on construit.

Et là, dans l’écho d’une voix qui s’élève,
Se trouve l’énergie qui sans fin se renouvelle,
Au creux des vers, la force d’un cri,
L’existence clamée, jamais asservie.

Les étoiles, dans leur silence scintillant,
Ne sont pas vaines dans le firmament,
Chacune raconte une histoire de dignité,
Un trajet lumineux, une quête d’identité.

Il y a l’artiste, l’ouvrier, le penseur,
Le berger de nuages, le cueilleur de fleurs,
Tous au combat, jour après jour,
Pour cette dignité, cet amour.

La ville s’éveille en un murmure bruyant,
Dans un ballet de sons, mouvements concordant,
Chaque passant est un vers dans ce poème,
Chaque rue un refrain qui s’éternise et sème.

Avec douceur, avec la force des ondes,
La vie s’articule, complexe et ronde,
Chaque sourire est un hymne à la joie,
Chaque larme, un éclat de notre foi.

Le crépuscule dessine ses adieux
Avec des teintes de feu sacré aux cieux,
Dans la chute du jour, la promesse nocturne,
Que demain, la lutte pour la dignité tournera une page moderne.

Le silence nocturne qui suit la clameur du jour
Est comme un poème qui susurre l’amour,
Un espace immaculé, un panoramique de l’âme,
C’est là que se gagne la plus noble des trames.

Et la lune, veillant sur nos rêves endormis,
Sage sentinelle de nos nuits inassouvies,
Nous enseigne, avec sa clarté dérobée,
Que même dans l’ombre, la dignité est à porter.

Car c’est dans ce combat discret mais vaillant,
Que résident la passion, la force de nos élans,
Là où se tisse le respect de l’autre, l’estime soi,
Le combat pour la dignité est le plus noble des droits.

Ainsi, les vers de ce poème s’envolent doucement,
Comme les feuilles poussées par le souffle du temps,
Ils portent en eux l’espoir et la brillance,
Le combat pour la dignité, une danse d’espérance.

Ouvrez grand les portes de vos cœurs altiers,
Le monde est un poème à chérir, à psalmodier,
Que chaque mot, que chaque geste conte,
Soit l’encre d’un poème où la dignité affronte.

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