Les larmes de l'adieu
Dans le souffle fragile de l'aurore,
Là où les rêves se mêlent à l'azur,
Une voix cherchant la mélodie encore,
Dans le silence, esquisse un futur.
Les horizons s'embrassent dans une étreinte,
Où les étoiles filent en un tendre adieu.
Sous le voile de la nuit qui s'étreint,
Les mots se perdent, doux et peu à peu.
Au coeur des rêveries, l'âme navigue,
Sur des mers d'argent, où l'espoir danse.
Chaque valse, chaque pause, je digue,
Une construction de pensées, une lance.
Des jardins éveillés par le chant du vent,
Où la rosée caresse l'échine du temps,
S'épanouissent les roses en sarabande,
Leurs parfums, murmures d'une contrée absente.
Les montages, témoins de siècles endormis,
Veillent sur les vallées, sur les rivières d'oubli.
Elles charrient des mémoires, des soupirs évanouis,
Dans leurs flots, un miroir de nos vies insoumises.
Comme une plume au gré des vagues, je voyage,
À travers des chants d'amour, des tempêtes, des mirages.
Dans l'écrin de l'univers, je trouve ma page,
Où chaque mot est un pas, chaque vers un passage.
La brise nocturne murmure des secrets anciens,
Révélant sous la lune, des destins incertains.
Là où les ombres s'entrelacent, nouant l'invisible,
La lumière, timidement, trace son sillon sensible.
Dans l'écho d'un instant, le monde suspend sa course,
Pour un souffle, pour un regard, abritant nos discours.
Entre les lignes du destin, je chercherai ma source,
Là où l'adieu n'est qu'un début, pas un détours.
L'horizon s'effile, se drape de couleurs nouvelles,
L'aube apporte avec elle, le renouveau, l'étincelle.
Chaque aurore, promesse d'une histoire à écrire,
Sous le sceau d'un passé, qui lentement se retire.
Les larmes de l'adieu, perles d'un chagrin voilé,
Se fondent dans le jour, éclats de joie étoilée.
Dans ce ballet des heures, chaque goutte un reflet,
D'un amour, d'une peine, sur le chemin arpenté.
Les saisons s'effacent, laissant place à l'éternité,
Dans l'immensité de l'instant, je me suis retrouvé.
Les larmes de l'adieu, finalement, sont des graines,
D'un futur florissant, d'un espoir qui entraîne.
Dans la trame du temps, nos vies tissent leur essence,
Offrant à l'univers, l'écho de notre présence.
Au-delà des adieux, nous voyageons, âmes sœurs,
Dans la quête d'un sens, au cœur de nos douleurs.
À travers les larmes, les rires, les saisons,
Nous découvrons en nous des mondes en fusion.
Chaque adieu n'est que la porte vers nouvelle union,
Dans le livre de la vie, chaque fin est transition.
Que les larmes de l'adieu ne soient jamais oubliées,
Mais gardées comme les clefs de nos humanités.
Car dans le reflet de ces perles éphémères,
Se trouve la lumière de nos âmes entières.
Dans le dernier murmure de l'adieu, un espoir se lève,
Que dans l'infini des possibles, notre quête s'achève.
Emportés par le vent, nos mots, nos souvenirs,
Vers l'horizon lointain où tout reste à découvrir.
Ainsi dans ce voyage où chaque pas est un mot,
Les larmes de l'adieu marquent le début, pas l'écho.
Entre les pages du temps, je laisse mon empreinte,
Dans l'encre de l'adieu, je trouve ma contrainte.
Puisse chaque lectorat trouver dans cet humble écho,
Le reflet de sa quête, l'éclat dans l'eau du ruisseau.
Les larmes de l'adieu, dans leur douce amertume,
Sont le sel de la vie, l'éveil d'une brume.
Que ce poème soit une lampe dans la nuit,
Offrant réconfort et lumière à qui le lit.
Dans l'adieu, une promesse, une chanson d'aube nouvelle,
Où chaque vers nous rappelle que la vie est éternelle.