Plume de poète
Plume de poète
Bienvenue sur mon blog, je suis Nathalie Cali, dans les recoins tranquilles de mon quotidien, j'explore l'art de tisser des mots en poèmes et histoires pour enfants, chaque texte que je partage sur unpoeme.fr est un fragment de mon imagination, conçu pour éveiller la curiosité et l'enthousiasme des jeunes esprits, qand je n'écris pas, je me plonge dans le monde des livres, toujours à la recherche d'inspiration. Rejoignez-moi dans cette aventure littéraire, où chaque histoire est une fenêtre ouverte sur un univers de rêves et de découvertes.

Oliver Twist et les Enfants perdus

Sous le ciel bas d’un gris perpétuel, floraison d’esprits,
L’histoire entame son murmure au seuil de l’oubli.
Dans Londres brumeux, un tableau se compose —
D’enfance et d’innocence dans la brume morose.

Oliver Twist et les Enfants perdus

Dans les entrailles d’une ville aux mille cheminées,
Des âmes en lambeaux pleurent leurs rêves enfouis.
Héros malgré lui, fragile et égaré,
Oliver Twist, l’enfant, émerge des griseries.

À la lumière d’une chandelle vacillante,
Les mots naissent,fragiles échos du cœur.
Pétris de souffle et de fumée ardente,
Ils s’élancent libres de toute peur.

Premiers pas chancelants sur le pavé mouillé,
Le destin d’Oliver se lie aux étoiles oubliées.
Chaque enfant perdu est un monde suspendu,
Où le temps s’étire en ruelles tortueuses, tendu.

Les orphelins, vagabonds, cherchent une famille,
Se frayant un chemin à travers la cité endormie.
Chaque sourire volé est un trésor infini,
Dans leur univers de poches vides, démunis.

Au-delà de l’aube grise, les cœurs aspirent à la clarté,
Traversant les brumes des mensonges des lisières fortifiées.
Dérobant à l’injustice sa cruelle virginité
Ils ourdissent un voile où l’espoir s’épanouit en cadence.

Dans les yeux d’Oliver, miroir d’azur maladroit,
Se reflètent les rêves de ceux sans voix ni loi.
Au creux des murs de pierre, murmures de rébellion,
Chaque brique recèle un futur de passion.

Les vicissitudes des bas-fonds à l’éducation parcellaire,
Les coeurs battent comme le pouls de la terre,
Luttant contre l’obscurité, éternelle adversaire,
S’armant de persévérance, de détermination sincère.

Les enfants perdus, gravant leur existence,
De leurs empreintes font trembler le silence.
Comme des feuilles portées par l’indomptable vent,
Ils écrivent leur histoire sur le canevas du temps.

Mais ce récit n’est pas que de noirceur teinté,
C’est la quête de l’amour, du réconfort éhonté,
Où dans le souffle d’une confidence partagée,
Se trouve l’antidote aux heures trop gâtées.

Oliver Twist, fragile et pourtant si vaillant,
Guide ces âmes exilées vers des demains brillants.
Dans chaque geste, un souffle de liberté,
Dans chaque pas, l’écho d’une cité transformée.

L’innocence se meut en sagesse vieillie,
Chaque épreuve façonne l’acier trempé d’une vie.
L’errance, telle une douloureuse étreinte, enseigne,
Que même les Enfants perdus trouvent leur règne.

À travers les rues sombres, les gamins dispersés
Devineurs de richesse dans le rebus de société,
Étreignent leur destin d’une audace sans précédent,
De la misère, façonnent une existence resplendissante.

Les orphelins, de leurs sentiers torturés, forgent
Une ode à la résilience qui, sans faille, s’insurge.
Au fil des jours qui coulent telle encre sur la page,
Se dessine en douceur l’empreinte de leur courage.

Dans ce poème où s’entremêle lumière et vigueur,
Se déploie un rêve de grande aventure et de bonheur.
Telle la lame d’un couteau sculptant un nouvel espoir,
Les Enfants perdus esquissent leur propre histoire.

Les carrefours de la vie sont souvent imprévisibles,
Carences nourricières, épisodes indicibles.
Mais même dans la tourmente, la volonté prédomine,
Et offre un futur où la joie sublime s’incline.

Telle une symphonie aux mélodies entrecroisées,
La vie d’Oliver et ses comparses se trouve orchestrée.
Dans ce vaste monde, chaque âme trouve sa voie,
Des fragments de destin, qu’un aucune misère ne boit.

Voici la fin du récit d’Oliver et ses amis,
Une aventure humaine où chaque personnage grandit.
À l’image de la vie, complexe et contrastée,
Leurs histoires s’entremêlent et jamais ne s’achèvent.

Langage, ce pont entre nos mondes isolés,
Dans tes méandres, nos réalités sont enluminées.
Échos d’une vérité cachée aux mille facettes,
Contemplons donc la beauté dans ses moindres traits secrets.

Cette odyssée de l’enfance, de la perte et du gain,
Est un miroir de la vie, de son éternel refrain.
Par branches et par racines nos âmes sont liées,
Oliver Twist et les Enfants perdus, enfin à la maison trouvée.

En espérant, cher lecteur, que l’histoire ici contée,
Aura dans votre esprit un écho résonné.
Loin des mots optimisés, pure création de l’âme,
Ce poème est une offrande, une véritable flamme.

Dans la tendresse d’un monde parfois indifférent,
La poésie demeure, refuge résistant au temps.
Et de cette épopée naît une pensée profonde:
La chaîne du langage est ce qui nous lie au monde.

Chacun de ces enfants perdus, figurant votre et mon reflet,
Nous rappelle les nuances de l’humaine complexité.
Dans les rues brumeuses d’une réalité à plusieurs facettes,
Lu le poème d’Oliver, qui à jamais nous ressuscite.

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